Derniers vers (1586)
#ÉcrivainsFrançais
Vu que tu es plus blanche que le l… Qui t’a rougi ta lèvre vermeillett… D’un si beau teint ? Qui est-ce q… Sur ton beau sein cette couleur ro… Qui t’a noirci les arcs de tes sou…
Ode XXVI. En vous donnant ce pourtraict mien Dame, je ne vous donne rien Car tout le bien qui estoit nostre Amour dès le jour le fit vostre
Ma petite colombelle, Ma mignonne toute belle, Mon petit œil, baisez-moi ; D’une bouche toute pleine De musc, chassez-moi la peine
Ha ! que je porte et de haine et d… Au médecin qui vient soir et matin Sans nul propos tâtonner le tétin, Le sein, le ventre et les flancs d… Las ! il n’est pas si soigneux de…
Adieu, belle Cassandre, et vous,… Pour qui je fus trois ans en serva… L’une vit, l’autre est morte, et o… Le Ciel se réjouit, dont la terre… Sur mon premier Avril, d’une amou…
Amour, je ne me plains de l’orguei… Ni de la cruauté de ma jeune Lucr… Ni comme, sans recours, languir el… Je me plains de sa main et de son… C’est un gros instrument par le bo…
Du malheur de recevoir Un étranger, sans avoir De lui quelque connaissance, Tu as fait expérience, Ménélas, ayant reçu
Ô pucelle plus tendre Qu’un beau bouton vermeil Que le rosier engendre Au lever du soleil, D’une part verdissant
Ô fontaine Bellerie, Belle fontaine chérie De nos Nymphes, quand ton eau Les cache au creux de ta source Fuyantes le Satyreau,
Celle, de qui l’Amour vainquit la… Que Jupiter conçut sous un Cygne… Cette sœur des Jumeaux, qui fit p… Opposer toute Europe aux forces d… Disait à son mirouer (1), quand el…
Amour me tue, et si je ne veux dir… Le plaisant mal que ce m’est de mo… Tant j’ai grand peur, qu’on veuill… Le mal, par qui doucement je soupi… Il est bien vrai, que ma langueur…
Chanson XV. Quand ce beau printemps je vois, J’aperçois Rajeunir la terre et l’onde, Et me semble que le jour
Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée,
J’ai l’esprit tout ennuyé D’avoir trop étudié Les phénomènes d’Arate ; Il est temps que je m’ébatte Et que j’aille aux champs jouer.
Qui voudra voir comme un Dieu me… Comme il m’assaut, comme il se fai… Comme il renflamme et renglace mon… Comme il reçoit un honneur de ma h… Qui voudra voir une jeunesse promp…