Derniers vers (1586)
#ÉcrivainsFrançais
Sois medecin, Phoebus, de la Mais… Qui tient mon Prince en servage s… Vole à son lict, et luy taste le p… Il faut qu’un Dieu guarisse une D… Mets en effect ton mestier, et ne…
Adieu, belle Cassandre, et vous,… Pour qui je fus trois ans en serva… L’une vit, l’autre est morte, et o… Le Ciel se réjouit, dont la terre… Sur mon premier Avril, d’une amou…
Peins-moi, Janet, peins-moi, je t… Dans ce tableau les beautés de m’a… De la façon que je te les dirai. Comme importun je ne te supplierai D’un art menteur quelque faveur lu…
Le soir qu’Amour vous fit en la s… Pour danser d’artifice un beau bal… Vos yeux, bien qu’il fût nuit, ram… Tant ils surent d’éclairs par la p… Le ballet fut divin, qui se soulai…
Chanson IV. Plus étroit que la vigne à l’Orme… De bras souplement forts, Du lien de tes mains, maîtresse, j… Enlace-moi le corps.
Marie, vous avez la joue aussi ver… Qu’une rose de mai, vous avez les… De couleur de châtaigne, entrefris… Gentement tortillés tout autour de… Quand vous étiez petite, une migna…
En mon cœur n’est point escrite La rose ny autre fleur, C’est toy, blanche Marguerite, Par qui j’ay cette couleur. N’es-tu celle dont les yeux
Marie, qui voudrait votre beau nom… Il trouverait Aimer : aimez-moi d… Faites cela vers moi dont votre no… Votre amour ne se peut en meilleur… S’il vous plaît pour jamais un pla…
J’ai l’esprit tout ennuyé D’avoir trop étudié Les phénomènes d’Arate ; Il est temps que je m’ébatte Et que j’aille aux champs jouer.
Pourtant si ta maîtresse est un pe… Tu ne dois pour cela te courroucer… Voudrais-tu bien haïr ton ami plus… Pour être un peu jureur, ou trop h… Il ne faut prendre ainsi tous péch…
Pareil j’égale au soleil que j’ado… L’autre soleil. Celui-là de ses y… Enlustre, enflamme, enlumine les c… Et celui-ci toute la terre honore. L’art, la nature et les astres enc…
Celle, de qui l’Amour vainquit la… Que Jupiter conçut sous un Cygne… Cette sœur des Jumeaux, qui fit p… Opposer toute Europe aux forces d… Disait à son mirouer (1), quand el…
Je n’ay plus que les os, un squele… Decharné, denervé, demusclé, depou… Que le trait de la mort sans pardo… Je n’ose voir mes bras que de peur… Apollon et son fils, deux grands m…
Ô pucelle plus tendre Qu’un beau bouton vermeil Que le rosier engendre Au lever du soleil, D’une part verdissant
Le printemps n’a point tant de fle… L’automne tant de raisins meurs, L’été tant de chaleurs halées, L’hiver tant de froides gelées, Ni la mer a tant de poissons,