Prose
#ÉcrivainsFrançais
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
Dans mon rêve la tête d’un enfant… Si les nuages s’accumulent sur ton… Mais aucune voix ne t’appelle. Si… L’édredon gardait le silence ; les…
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
Je ne peux plus regarder ton visag… Où te caches-tu La maison s’est évanouie parmi les… Et tu as quitté la dernière fenêtr… Où tu m’apparaissais
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
Assis Le casque en bas Le monde Ou le passage étroit La rue qui monte
Le timbre vient de loin Les mondes se rapprochent Sur les bords du clocher des étoil… Dans le coin des cheminées fument Ce sont des bougies qui s’allument
Je croise la maison toujours inhab… Là se tient le grand homme lourd e… La rive est plus basse que l’eau Le ciel est plus profond et moins… Je crois que les voisins sont asse…
Tout s’est éteint Le vent passe en chantant Et les arbres frissonnent Les animaux sont morts Il n’y a plus personne
Un souffle sec vient de plus loin Les ailes noires se balancent Rien ne part Au chemin tournant Les ardeurs du jour se délassent
Tout est calme Pendant l’hiver Au soir quand la lampe s’allume A travers la fenêtre où on la voit… Sur le tapis des mains qui dansent
Sur les mêmes couleurs le jour fil… La flèche d’or pur le traverse Sur l’arbre tendre et le rayon ame… Qui fond dans la forêt épaisse Au matin le ton est plus gris
Mec La face des têtes Idoles Dans un coin où passe une voiture Tout dort