#ÉcrivainsFrançais
La porte qui ne s’ouvre pas La main qui passe Au loin un verre qui se casse La lampe fume Les étincelles qui s’allument
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
Dans la place qui reste là Entre quatre lignes Un carré où le blanc se joue La main qui soutenait ta joue Lune
Elle est allumée On ne voit plus qu’elle Et le cœur triangulaire Qui brille au soleil Une matinée
Derrière la porte où je suis caché Le soir tarde à venir Je regarde le ciel par cet œil en… Minuit Les avions de feu sont presque tou…
Le soir Le monde est creux A peine une lumière L’éclat d’une main sur la terre Et d’un front blanc sous les cheve…
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
Dans la rue ce sont avec la couleu… ciel large et bas les pavés luisan… La rue est divisée en cadres blanc… marque son pas où la pluie joue au… les grosses gouttes de l’orage
Un coin au bout du monde où l’on e… Les colonnes du soir se tendent Et la porte s’ouvre à la nuit Une seule lampe qui veille Au fond il y a une merveille
Le teint de lait du panache au mom… Entre les avenues l’étoile et les… Au lieu de gouttes d’eau c’est le… Le monument s’ébroue Le matin se soulève et retombe un…
On ferme la porte Le courant La croix Le panneau blanc s’écaille Les armes sur la main
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire
Près du chemin ouvert Et du bois sous la neige La pointe qui soulève la nuit La lampe veille Sur le visage blanc les paupières…
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
On entre par la porte à côté La maison est triste et reste ferm… Quelqu’un passe sous la fenêtre et… On a peur de faire du bruit Des milliers de lumières s’allumen…