#ÉcrivainsFrançais
Les cavaliers se tiennent sur la route et de profil. On ne sait plus quel est leur nombre. Contre la nuit qui ferme le chemin, entre la rivière et le pont une source qui pleure—un arbre...
A cause de l’eau le toit glisse A cause de la pluie tout se fond Le pétrole l’alcool et ma faible b… Ont incendié la maison Un jardin sans oiseaux
Là-haut Le creux marin Au bord des hémisphères La houle passe en bloc par-dessus… Les racines du monde pendent
Au pied de l’arbre, ce n’était qu’un ivrogne qui remuait au gré du vent. Son portrait est dans toutes les glaces, son esprit au fond de tous les verres. Est-ce une chose qui reste ? Il ...
Assis Le casque en bas Le monde Ou le passage étroit La rue qui monte
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
Un profil immortel sur le fronton A Bornéo ou au delà Les rivières sont gelées Les animaux courent sur la piste
Le chemineau aurait frappé de son… durci A cet endroit Devant la porte un chien furieux g… La famille protégée dort
Entre la maison et le ciel Tout se gonfle Car le vent souffle Les étoiles montent de la cheminée Une à une elles se sont fixées
Ni eux ni rien pas même Lui Des marches parmi les branches qui… nuages On ne peut pas trouver le numéro n…
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…
Tu regardes en passant l’animal en… Il part de son élan L’exil entre les haies Son œil sonde le ciel d’un regard… La tête contre la barrière
Les bras se levaient vers la croix et la tête restait pendue au flot de ses cheveux, sous la lucarne. Sur les marches il n’y a plus que l’ombre que le soleil projette et les mains perdu...
A la pointe où se balance un mouch… Au fond noir qui finit le monde Devant nos yeux un petit espace Tout ce qu’on ne voit pas Et qui passe
Je n’aurais jamais voulu revoir to… Tes joues creuses et tes cheveux a… Je suis parti à travers champs Sous les bois humides Jour et nuit