Prose
#ÉcrivainsFrançais
Avant de partir pour la cérémonie… Avant d’engloutir cet espace prése… Au dessus des vagues tordues sous… Saluons le soleil Les murs sont au courant
Au moment où les chevaux passaient, la suspension trembla. Le plafond menaçait de se pencher à droite, contre nos têtes ; mais les fenêtres restaient d’aplomb avec le ciel, et l’on voya...
A travers la pluie dense et glacée… Mais ses souliers trop grands sont… O monde sans abri qui vas ce dur c… O monde qui les méprises, tu me fa…
Le cavalier mourant levait pourtan… Les étoiles le fusillaient La haie du rêve noir est encore tr… Nous ne sortirons pas du sort des… Mais on peut voir déjà ce qui se p…
S’il se soulève quand je passerai près de lui ; s’il pleure quand viendra la nuit, s’il ne crie pas ? J’aurai cru le voir et ce sera fini. Plusieurs heures de chemin dans un sentier où ...
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
Dans la rue où personne ne passe Entre le numéro et le numéro Quelque temps qu’il fasse Tout ce jour-là et les suivants Je suis là j’attends
C’est une étonnante chimère. La tête, plus haut que cet étage, se place entre les deux fils de fer et se cale et se tient ; rien ne bouge. La tête inconnue parle et je ne comprends aucu...
Le timbre vient de loin Les mondes se rapprochent Sur les bords du clocher des étoil… Dans le coin des cheminées fument Ce sont des bougies qui s’allument
Il grimpe sans jamais s’arrêter, s… Le poids qu’il traîne est lourd ma… A chaque porte il a crié son nom,… Mais quand il a su qu’on attendait…
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
L’éclair passe à travers la bague Le diamant reste à ton doigt La ligne sortait du coin le plus s… Celle qui était à son bras formée… La femme souriait
Un cortège de gens plus ou moins h… On passe entre les arbres qui s’in… Dans le silence digne, si quelqu’u… On passe devant la maison d’un poè… Bientôt, c’est un boulevard bordé…
Vision bariolée et délicate dans sa tête, tu fuis la mienne. Il possède les astres et les animaux de la terre, les paysans et les femmes pour s’en servir. L’Océan l’a bercé, moi la mer,...