#ÉcrivainsFrançais
Une petite tache brille entre les… La chambre est vide et les volets… C’est le jour qui entre ou quelque… Le paysage du mur—l’horizon de der… Il y a des arbres et des nuages, d…
Comment me défaire de ces quelques… Tout me suit Le monde devient de plus en plus p… C’est une course rapide et éternel… Comme la vie
Vous ne passerez jamais par cette… ni l’allée du milieu La tête énorme et lourde les dépas… le ciel se coupe en deux S’il y avait une autre mesure entr…
J’ai perdu le secret qu’on m’avait… Je ne sais plus rien faire Un moment j’ai cru que ça pourrait… Plus rien ne tient C’est un homme sans pieds qui voud…
En passant une seule fois devant c… mon front Qui est là Quel chemin est venu finir à cet e… Quelle vie arrêtée
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Une ligne au diapason Mon regard Le battement de mes artères Je file incognito Et l’on voit venir la lumière
Les ailes sont chargées Le désespoir s’envole Mes mains ont laissé descendre len… Le rideau sans plis de ma mémoire Mais l’intermède du jour bruyant s…
Le cavalier mourant levait pourtan… Les étoiles le fusillaient La haie du rêve noir est encore tr… Nous ne sortirons pas du sort des… Mais on peut voir déjà ce qui se p…
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
En attendant que la nuit sonne L’escalier reconnu Ou l’aile réveillée Le vent sur les oreilles A l’abri du mur
On peut regarder de travers Tous ceux qui passent sous l’avers… Les voix qui criaient à l’envers Et les animaux en détresse A peine relevés du ciel
Enfin me voilà debout Je suis passé par là Quelqu’un passe aussi par là maint… Comme moi Sans savoir où il va
Une éclaircie avec du bleu dans le ciel ; dans la forêt des clairières toutes vertes ; mais dans la ville où le dessin nous emprisonne, l’arc de cercle du porche, les carrés des fenêtre...