#ÉcrivainsFrançais
Les voiles blancs s’effacent décou… L’eau s’agite dans les ornières Derrière le bois les champs et la… Les cheminées jouent au ballon dès… Le soleil monte et redescend
Assis Le casque en bas Le monde Ou le passage étroit La rue qui monte
Le cavalier mourant levait pourtan… Les étoiles le fusillaient La haie du rêve noir est encore tr… Nous ne sortirons pas du sort des… Mais on peut voir déjà ce qui se p…
Il serait bien monté sur le mur qu… Pourtant les chiens grognaient plu…
Plus loin le verre blanc cassa Les yeux au plafond se levèrent Sur le ciel d’aujourd’hui Un soleil faux qui luit Un rayon dans la glace
Quand les premiers furent passés et que l’on attendait encore. Quand les derniers furent passés et que l’on n’entendit plus rien. La dernière étoile résistait au matin et tu ne pouvais ...
Dans la rue où personne ne passe Entre le numéro et le numéro Quelque temps qu’il fasse Tout ce jour-là et les suivants Je suis là j’attends
Le matin allait à peine ouvrir son… Sur la route où passaient les homm… Seul il roulait sa boule parmi les… Toute sa peine est étrangère aux a… cherche pas à savoir s’ils en ont
Une tête penchée sous le poids des… Et les mains transpercées par des… Le front sanglant posé sur les nua… Les deux bras étendus pour barrer… Le monde est passé sous tes pieds
Dans une singulière détresse d’or j’attends, passé minuit, que vienne l’heure propice à toutes les défenses contre les éléments. Je vais passer devant l’ennemi, redoutable plus que la p...
Une première fois sa canne tombe e… La jambe droite s’écarte de la lig… Son temps se passe à déjouer la st… C’était peut-être un roi, déguisé…
La maigre ligne au quart du vent l’aile qui se retrousse Et la perte du temps les buttes mieux placées dans l’air l’eau qui s’égoutte les…
Sous la vitre L’abri des gouttes de rosée Et le long des gouttières Entre les deux nuages Le plomb au bout du fil
Le soir couchant ferme une porte Nous sommes au bord du chemin Dans l’ombre près du ruisseau où tout se tient Si c’est encore une lumière
Entre la maison et le ciel Tout se gonfle Car le vent souffle Les étoiles montent de la cheminée Une à une elles se sont fixées