#ÉcrivainsFrançais
J’ai trouvé des boules et des tuya… Et moi, moi qui ne savais pas pour…
Des bras charnus et des fourrures… Les lumières vont à la chaleur que… Et tous les mendiants frappaient à… Le même spectacle les attend ; la… Enfin la musique joue, quand même,…
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
On peut regarder de travers Tous ceux qui passent sous l’avers… Les voix qui criaient à l’envers Et les animaux en détresse A peine relevés du ciel
La seule clef du ciel entre ces ro… C’est l’aigle Quand la lame de fer coupe la vagu… Ma main écrit ton nom sur la glace… Un navire indécis navigue vers mes…
La– vie est simple et gaie Le soleil clair tinte avec un brui… Le son des cloches s’est calmé Ce matin la lumière traverse tout Ma tête est une rampe allumée
Devant le bateau immobile Quelqu’un qui attend C’est le port qui bouge Il fait trop de vent le niveau de… tant la mer est lasse
Dans le cirque Les boulevards réduits à presque r… Des visages blafards Des coins de rue Une manche qui flotte
Tu regardes en passant l’animal en… Il part de son élan L’exil entre les haies Son œil sonde le ciel d’un regard… La tête contre la barrière
Les bras se levaient vers la croix et la tête restait pendue au flot de ses cheveux, sous la lucarne. Sur les marches il n’y a plus que l’ombre que le soleil projette et les mains perdu...
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Une niche Un nombre Une troupe d’hommes Tout le bout est là On n’avance plus
Il fait si chaud que l’air vibre et que tout bruit devient assourdissant. Des meutes de chiens féroces aboient. Par les fenêtres ouvertes, les cris des femmes rivalisent avec cette fanf...
L’éclair passe à travers la bague Le diamant reste à ton doigt La ligne sortait du coin le plus s… Celle qui était à son bras formée… La femme souriait