#ÉcrivainsFrançais
Tu regardes en passant l’animal en… Il part de son élan L’exil entre les haies Son œil sonde le ciel d’un regard… La tête contre la barrière
La bande roule aux mains des plus… Celui qui tient la corde serre bie… Il s’agit d’entrer Une ombre dans l’angle du couloir… Le silence file le long du mur
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Qui m’a révélé l’endroit précis. Le ciel où les deux murs se joignent. L’angle où l’on est à l’abri ? Par-dessus, le vent emporte la terre qui se déplace. Quelques nids sont tombés et l...
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Le feu est presque éteint Et devant quelqu’un pleure Où passe cette main Dont la chaleur demeure Il fait nuit
Quand les premiers furent passés et que l’on attendait encore. Quand les derniers furent passés et que l’on n’entendit plus rien. La dernière étoile résistait au matin et tu ne pouvais ...
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire
Le teint de lait du panache au mom… Entre les avenues l’étoile et les… Au lieu de gouttes d’eau c’est le… Le monument s’ébroue Le matin se soulève et retombe un…
Tête penchée Cils recourbés Bouche muette Les lampes se sont allumées Il n’y a plus qu’un nom
Une tête penchée sous le poids des… Et les mains transpercées par des… Le front sanglant posé sur les nua… Les deux bras étendus pour barrer… Le monde est passé sous tes pieds
La porte qui ne s’ouvre pas La main qui passe Au loin un verre qui se casse La lampe fume Les étincelles qui s’allument
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
On passe comme des bœufs Sur le quai les lumières s’allonge… Le wagon tourne sur la roue du mil… Les chevelures se dressent dans la… Les mots qui passent font du bruit
La teinte grise au cadran lumineux Au cadran sans aiguilles Au regard bleu Au bord de cette ville dont le clocher s’endort