#ÉcrivainsFrançais
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
Tête penchée Cils recourbés Bouche muette Les lampes se sont allumées Il n’y a plus qu’un nom
J’ai peut-être mis au vestiaire plus que mes vêtements. Je m’avance, allégé, avec trop d’assurance et quelqu’un dans la salle a remarqué mes pas. Les rayons sont pleins de danseuses. Je...
Les étoiles sont près du toit et l… Un sillon tortueux creuse le sol a… Du pavillon Du temple De la ville
Tout s’est éteint Le vent passe en chantant Et les arbres frissonnent Les animaux sont morts Il n’y a plus personne
La cloche vide Les oiseaux morts Dans la maison où tout s’endort Neuf heures La terre se tient immobile
Le Vestiaire Le Portemanteau La lumière
Il se penche au bord du parapet et… Les nuages font marcher la maison… Les toiles d’araignées se déchiren…
Où iront-ils chercher tout ce qu’i… Le ciel plisse son front Prépare une tempête Les autres sont là pour la fête Et les astres tendent des fils
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends. Vous attendez aussi mais je ne sais plus quoi. Pourvu que quelque chose arriv...
Il est tapi dans l’ombre et dans le froid pendant l’hiver. Quand le vent souffle il agite une petite flamme au bout des doigts et fait des signes entre les arbres. C’est un vieil homme ...
Après cette scène où je me suis montré si éclatant de chasteté que peut-il advenir ? Où sont mes papiers et mon identité vieillie et la date de ma naissance imprécise ? Et, d’ailleurs, ...
S’il se soulève quand je passerai près de lui ; s’il pleure quand viendra la nuit, s’il ne crie pas ? J’aurai cru le voir et ce sera fini. Plusieurs heures de chemin dans un sentier où ...
Je ne peux plus regarder ton visag… Où te caches-tu La maison s’est évanouie parmi les… Et tu as quitté la dernière fenêtr… Où tu m’apparaissais
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire