#ÉcrivainsFrançais
L’ombre danse Il n’y a plus rien Que le vent qui s’élance Le mouvement s’étend du mur Et se gonfle
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Des bras charnus et des fourrures… Les lumières vont à la chaleur que… Et tous les mendiants frappaient à… Le même spectacle les attend ; la… Enfin la musique joue, quand même,…
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Dans la place qui reste là Entre quatre lignes Un carré où le blanc se joue La main qui soutenait ta joue Lune
Net et fixe Son œil s’écarte du plan blanc L’instrument est plus près des car… Les formes du paysage clair Et les traits violents du visage
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
Il sait à peine d’où tu viens Malgré la ride qui te marque Malgré ces traces sur tes joues Et les mouvements de tes mains Il ne veut pas que tu t’en ailles
Les cavaliers se tiennent sur la route et de profil. On ne sait plus quel est leur nombre. Contre la nuit qui ferme le chemin, entre la rivière et le pont une source qui pleure—un arbre...
Il y a des mains qui passent Quelque chose passe dans le vent Trois têtes au moins se balancent Mes yeux partent à fond de train J’arriverais à temps
Il est allongé et il dort. C’est un corps mort. Un dernier rayon éclaire son visage calme où brillent des dents sans éclat. Les heures sonnent doucement autour de sa tête ; il ne les en...
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas
Je lis à travers ton front jaune e… Les rires les éclats les lumières… Dansent Tu es saoule Autrefois les boulevards étaient g…
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...
Le soir Le monde est creux A peine une lumière L’éclat d’une main sur la terre Et d’un front blanc sous les cheve…