Prose
#ÉcrivainsFrançais
Plus loin le verre blanc cassa Les yeux au plafond se levèrent Sur le ciel d’aujourd’hui Un soleil faux qui luit Un rayon dans la glace
J’ai trouvé des boules et des tuya… Et moi, moi qui ne savais pas pour…
Rien qui dépasse le niveau de la f… Tous les yeux se tournent vers ce… Il y a derrière le vieux qui fume…
Tous les flots des marines du mur pourraient se déverser dans les assiettes, avec la céruse écumante des vagues. Le fond resterait toujours bleu, derrière le soleil trop éclatant du cad...
Le mélange des voix des êtres sous… les frissons des arbres l’étreinte des revirements de fumé… le recul des mains le cœur assassi… Tout l’or et le sang les poitrines…
Tout ce qui s’est passé glisse dan… C’est ce carré au sol qui marque l… C’est un peu de soleil Chaud derrière la tête C’est un verre brisé
Tout s’est éteint Le vent passe en chantant Et les arbres frissonnent Les animaux sont morts Il n’y a plus personne
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Sur le rempart où tremblent des ru… La nuit finie, le bruit dissipe le… Au milieu des fumées les hommes so… Qui sonna la victoire ? La charge… Un trompette rallie des lambeaux d…
Les débris culbutés dans le coin Il ne reste plus rien Les murs et le triangle Pourtant L’espoir qui nous soutient
L’arbre du soir, Pabat-jour de la lampe et la clef du repos. Tout tremble quand la porte s’ouvre sans éveiller de bruit. Le rayon blanc traverse la fenêtre et inonde la table. Une main ...
La pluie d’or sur la vague Et le trou noir des ailes Au mur le parapet glissant laisse… Au ciel la porte s’ouvre et la cla… C’est le jour
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi