#ÉcrivainsFrançais
A présent la ruelle est refermée par la lettre majeure de l’enseigne que le vent rabattait sans cesse contre l’arbre du coin de la forêt à vendre. Le vent en tourbillons aigris garnit l...
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Les voiles blancs s’effacent décou… L’eau s’agite dans les ornières Derrière le bois les champs et la… Les cheminées jouent au ballon dès… Le soleil monte et redescend
Entre le dos du livre et les feuil… S’ouvre l’antre limpide Où bouillonne l’écume Quand les rochers serrent les dent… Sur la langue de sable
L’élan L’arrêt la balance au bout du traj… Tout porte à faux les mots le drap… Il naît sous l’aile de papier l’être remue
Dans la cour au couchant Les cris perdus sous les marques d… ou la campagne Cette face tranquille et vaste La nuit qui se cache
Je m’attendais à tout ce qui peut… La tête en bas Les pieds touchant la tête Et tout ce qui dans l’angle remuai… Contre le mur
Il faisait si chaud qu’il laissait… Il les laissait accrochés aux buis… Et, quand il fut nu, il s’approcha… Une honte immense s’empara de lui… Il était nu et comment ne pas atti…
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
On ferme la porte Le courant La croix Le panneau blanc s’écaille Les armes sur la main
Tout est calme Pendant l’hiver Au soir quand la lampe s’allume A travers la fenêtre où on la voit… Sur le tapis des mains qui dansent
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
Un trou noir où le vent se rue Tout tourne en rond La fenêtre s’éloigne de la glace d… — Le vin n’y est pour rien
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Le bidon de pétrole Et le bruit Celui qui le porte rit Une cigarette qui scintille Dans la nuit