Au revoir, amis... Ha ! Que j’ai aimé cette année ! Je ne vous oublierai jamais ! Que de moment agréables avons-nous… Des instant dont j’avais tant prof…
Sonnet LXXXIX. Diane, ta coutume est de tout déch… Enflammer, débriser, ruiner, mettr… Entreprises, desseins, espérances,… Changeant en désespoir ce qui fait…
Thibault .. le chevalier de la ca… Qui avait affronté le géant Gayan… C est lui .. le vainqueur des saxo… Le prince Enée est venu dans la v… Ken le sénéchal était parti .. tô…
J’aime quand nos regards se croise… Quand mes yeux, éblouis, vénèrent La beauté de tes iris verts, Le plus beau des verts qui m’écras… J’aime quand souvent mes narines
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
Il se penche au bord du parapet et… Les nuages font marcher la maison… Les toiles d’araignées se déchiren…
Mon bon ami, poète aux longs cheve… Joueur de flûte à l’humeur vagabon… Pour l’an qui vient je t’adresse m… Enivre-toi, dans une paix profonde… Du vin sanglant et de la beauté bl…
(Au nom de Madame de Fontaine-Ma… C’est mercredi que je soupais chez… Et que, sortant des plaisirs de la… Bientôt couchée, un sommeil prompt… Me fit présent d’un songe délectab…
Fable III, Livre IV. Madame était au bal, monsieur étai… Et leurs gens, comme on l’imagine, Sur le poêle assoupis, s’inquiétai… D’une pincette de cuisine,
Je n’ai pas d’ami, Ma maîtresse est morte. Ce n’est qu’à demi Que je le supporte. Peut-on vivre seul ?
Le bonheur est mélancolique. Le cri des plus joyeux oiseaux Paraît lointain comme de l’eau Où se noierait une musique. À l’œil qui s’en repaît longtemps
Pour un Ane enlevé deux Voleurs s… L’un voulait le garder ; l’autre l… Tandis que coups de poing trottaie… Et que nos champions songeaient à… Arrive un troisième larron
Quel poète évoquera le rose des br… Le lézard des vieux murs, la mouch… Et le petit rayon qui vient, tout… Rire au carreau crasseux de la vie… Les végétaux chambrés, le fleuri,…
Ô belle sérieuse, Dans l’œil ou dans le front, Ni la brune oublieuse, Ni la blonde rieuse N’ont ton charme profond.
La musique est dans tout. Un hymn… Rumeur de la galère aux flancs lav… Bruits des villes, pitié de la sœu… Passion des amants jeunes et beaux… Des vieux époux usés ensemble par…
Que le soc imprudent ait blessé sa… Le lis ne soutient plus son front… Son calice fermé languissamment s’… Perd son dernier parfum, se dessèc… Aux jours de ton printemps, ainsi,…
En Grèce, j’ai trouvé, parmi les… Et les lauriers profonds, dans un… Caché par les buissons les plus im… Un vieux temple de Pan, en ruine,… Pas un sentier ne mène à ces chose…
(Imitée du latin de Hugues Grotiu… 1604. Trois ans déjà passés, théâtre de… J’exerce de deux chefs les funeste… Et fais émerveiller tous les yeux…
Sonnet. Mannequin idéal, tête-de-turc du l… Eternel Féminin !... repasse tes… Et viens sur mes genoux, quand je… Me montrer comme on fait chez vous…
Quand les trois déités à la charma… Aux pieds du blond Pâris mirent l… Pallas dit à l’enfant : Si ton cœ… Je te réserverai de terribles expl… Junon leva la tête, et lui dit :…
Dis-moi, ma simple et ma tranquill… Dis, combien l’absence, même d’un… Attriste et attise l’amour, Et le réveille, en ses brûlures en… Je m’en vais au-devant de ceux
Toute Aurore même gourde A crisper un poing obscur Contre des clairons d’azur Embouchés par cette sourde A le pâtre avec la gourde
Douce violette, Vierge humble et discrète, Fille de nos bois, Dis-moi dans quels songes Ainsi tu te plonges
Sonnet. C’était un vrai petit voyou, Elle venait on ne sait d’où, Moi, je l’aimais comme une bête. Oh ! la jeunesse, quelle fête.
Tu t’es approchée près de moi Et j’ai marché dans tes doux pas, M’entraînant vers ces lieues, là-b… Où je te dévoilais à toi, Une nouvelle sensation
C est un article sommaire treize… C est la rubrique sur le journal d… C est le temps fracturé .. des in… Les conflits armés et l Inflation… C est le poids des notes posées su…
le bilan de la journée est pauvre… Je me vois tous les jours devenue… Et faisant quelque chose qui m’éca… Parfois juste je rêve que je suis… Ou que je suis un arbre qui pousse…
Je suis gay passions naturiste fra… La petite salope du quartier . J adore sucer la bonne queue . Le nectar des dieux . Sur les marches des escaliers .
Oh ! me coucher tranquillement Pendant des heures infinies ! Et j’étais pourtant ton amant Lors des abandons que tu nies. Tu mens trop ! Toute femme ment.
Soudain je t’ai si fort pressée Pour sentir ton cœur bien à moi, Que je t’en ai presque blessée, Et tu m’as demandé pourquoi. Un mot, un rien, m’a tout à l’heur…