«Ça vous surprend que j’fume, et q… Vous vous dit’ que pour moi qu’a b… C’est un’ trop gross’ dépense et q… Mais, j’fais du mêm’ tabac trois u… Mon bout d’carotte, es’ pas ? j’ai…
Voici l’été encor, la chaleur, la… La renaissance simple et paisible… Les matins vifs, les tièdes nuits,… La joie et le tourment dans l’âme… —Voici le temps de rêve et de douc…
À Léonce Bénédite. Dans ma vieille forêt, au canton d… Sur un chêne tombé je m’arrête sou… Le regard se complaît à ces fronde… Dont la pâle verdure oscille au mo…
Sonnet LXVI. Ne t’émerveille point que chacun i… Qu’il dédaigne un chacun, qu’il n’… Qu’aux ouvrages d’autrui il veuill… Et comme un Aristarq lui-même s’a…
Polybe, le vieillard aux secrets m… Que cent ans de sagesse ont fait s… Assis près de Clydès le pâtre sur… Écoute, en lui parlant, descendre… Et regarde, pensif, dans le golfe…
Dans l’essaim nébuleux des constel… Ô toi qui naquis la première, Ô nourrice des fleurs et des fruit… Blanche mère des visions, Tu nous viens du soleil à travers…
Dans tous mes rêves c’était vous ! Vous étiez belle, Et je tombais à vos genoux : Ou si, rebelle, Quand vous me donniez un doux nom,
J’ai vu ces songeurs, ces poètes, Ces frères de l’aigle irrité, Tous montrant sur leurs nobles têt… Le signe de la Vérité. Et près d’eux, comme deux statues
Si l’on vous dit que l’art et que… C’est un flux éternel de banale am… Que c’est le bruit, la foule, atta… Ou d’un salon doré l’oisive fantai… Ou la rime en fuyant par la rime s…
L’eau terne enserre les dragues Dans un bassin de mercure Où nage, sombre teinture, La fumée aux gestes vagues. Régulière, la fumée
Toutes les femmes sont des fêtes, Toutes les femmes sont parfaites, Et dignes d’adoration, Sous les fichus ou sous les mantes Toutes les femmes sont charmantes,
Gallus Chanteurs mélodieux, habitants des… Le ciel pâlit, Vénus à l’horizon… Cynthia vous écoute, enivrez son o… Versez-lui le flot d’or de vos bel…
Sonnet. Un grand chemin ouvert, une banale… À travers vos moissons ; tout le j… Poudreuse ; dont le bruit vous ôte… Où la rosée en pleurs n’a jamais u…
Dieu fit votre corps noble et votr… Le corps sort de la terre et l’âme… L’un est un amoureux et l’autre es… Dans la paix d’un jardin vaste et… Dieu souffla dans un peu de boue u…
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Fuis l’éden des anges déchus ; Ami, prends garde aux belles fille… Redoute à Paris les fichus, Redoute à Madrid les mantilles. Tremble pour tes ailes, oiseau,
Le monde est méchant, ma petite : Avec son sourire moqueur Il dit qu’à ton côté palpite Une montre en place de coeur. —Pourtant ton sein ému s’élève
Sans craindre qu’un rival contre m… Je suis le souverain de tout ce qu… De l’une à l’autre rive, et les ai… Sont peuplés des sujets de mon pai… Toi que du sage a trop vanté l’amo…
La vie est le chemin de la mort.… N’est d’abord qu’un sentier fuyant… Où la mère conduit son enfant par… En priant la Vierge Marie. Aux abords du vallon, le sentier d…
Enfant blonde aux doux yeux, ô ros… Qu’un jour j’ai rencontrée aux bor… Cygne pur émigré de ton climat de… Je t’ai vue et je t’aime ainsi qu’… Je t’aime et suis heureux comme si…
(Au sommet du Glenroe *). Ayant monté longtemps d’un pas lou… Les rampes, au sommet désiré du vo… Près du chemin gravi, bordé de fin… Oh ! qui n’aime à tomber d’un cœur…
Le teint de lait du panache au mom… Entre les avenues l’étoile et les… Au lieu de gouttes d’eau c’est le… Le monument s’ébroue Le matin se soulève et retombe un…
Le désir triomphal, en son commenc… Exige toutes les aisances ; Il ignore le temps, le sort, l’ate… Il exulte, il chante, il s’avance… On serait stupéfait et transi de s…
(Du camp de Philisbourg, le 3 jui… C’est ici que l’on dort sans lit, Et qu’on prend ses repas par terre… Je vois et j’entends l’atmosphère Qui s’embrase et qui retentit
Tout n’est qu’amour dans la nature Pour un cœur enflammé d’amour : Le printemps nous rend la verdure Pour offrir un trône à l’amour ; L’astre brillant de la lumière
Sonnet. Nature, accomplis-tu tes œuvres au… Sans raisonnable loi ni prévoyant… Ou bien m’as-tu donné par cruelle… Des lèvres et des mains, l’ouïe et…
Contrerime XXVI. Comme les dieux gavant leur panse, Les Prétendants aussi. Télémaque en est tout ranci : Il pense à la dépense.
Chemin faisant dans les clartés si… Dans l’obscurité complète le temps… Roulé au fond sombre du circuit et… Tout ce qui luit Qui s’éteint
Colonne de saphir, d’arabesques br… Reparais ! Les ramiers s’envolent… De ton bandeau d’azur à ton pied d… Se déroule à longs plis la pourpre… Si tu vois Bénarès, sur son fleuv…
Où va ce plongeur sublime, Intrépide en son travail ? Il va ravir à l’abîme Ses perles et son corail. Où va cet oiseau qui passe