#ÉcrivainsFrançais
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Mon doigt saigne Je t’écris Avec Le règne des vieux rois est fini Le rêve est un jambon
Avec des lumières à travers la prairie étincelante ; et des voix insignifiantes mais nombreuses—quelques unités soutenant l’ensemble—on a fait le paysage clair, la nature libre, les omb...
On a transformé le trottoir en vél… On ne voit pas ses mains et le gui… On a peur de le voir tomber et qu’…
Derrière la porte où je suis caché Le soir tarde à venir Je regarde le ciel par cet œil en… Minuit Les avions de feu sont presque tou…
Les rideaux déchirés se balancent C’est le vent qui joue Il court sur la main entre par la… Ressort et s’en va mourir n’import… Le vent lugubre et fort emporte to…
La rue est toute noire et la saison n’a pas laissé de traces. J’aurais voulu sortir et l’on retient ma porte. Pourtant là-haut quelqu’un veille et la lampe est éteinte. Tandis que les b...
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Vous ne passerez jamais par cette… ni l’allée du milieu La tête énorme et lourde les dépas… le ciel se coupe en deux S’il y avait une autre mesure entr…
Les bateaux s’étageaient dans le t… Où les hommes jouaient aux cartes Les mots les plus légers montent j… Devant eux la fumée s’écarte Les autres battent des ailes dans…
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Non Le personnage historique Et là le soleil s’arrêtait C’était un homme qui passait Le cheval si maigre
Le vent revient plus tard du chemi… Les mains pendent au bord du livre Tête nue l’homme traverse l’heure… Sur la pointe où le ciel se fixe L’étoile et son pignon
Il y a des mains qui passent Quelque chose passe dans le vent Trois têtes au moins se balancent Mes yeux partent à fond de train J’arriverais à temps