La seule clef du ciel entre ces ro… C’est l’aigle Quand la lame de fer coupe la vagu… Ma main écrit ton nom sur la glace… Un navire indécis navigue vers mes…
J’ai reparu sur la colline Dans un nuage aux franges d’or, Je suis la beauté qui décline ; Mais, à mes charmes, on devine Que les cœurs me suivent encore !
(Au Marquis de Lamaisonfort) Oh ! qui m’emportera vers les tièd… Où l’Arno couronné de ses pâles o… Aux murs des Médicis en sa course… Réfléchit le palais par un sage ha…
À Joseph Boulmier. Le rossignol n’est pas un froid et… Qui s’écoute chanter d’une oreille… Émerveillé du timbre et de l’ample… Virtuose d’amour, pour charmer sa…
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide
Je suis jeune ; la pourpre en mes… Mes cheveux sont de jais et mes re… Et, sans gravier ni toux, ma poitr… Aspire à pleins poumons l’air du c… Aux vents capricieux qui soufflent…
Sonnet. Vois à loisir ce lieu champêtre ; Les jours y coulent sans ennuis : Tâche, si tu peux, de connaître Tant d’herbes, de fleurs, et de fr…
Faut-Il que ma douleur aussi soit… Faut-il que par instants je tressa… De trop souffrir pour moi ?—Dans… Près de quelle fenêtre ouvrant sur… Au fond desquels un peu de lumière…
Les roses d’Ispahan dans leur gaî… Les jasmins de Mossoul, les fleur… Ont un parfum moins frais, ont une… Ô blanche Leïlah ! que ton souffle… Ta lèvre est de corail, et ton rir…
La qualité d’Ambassadeur Peut-elle s’abaisser à des contes… Vous puis je offrir mes vers et le… S’ils osent quelquefois prendre un… Seront-ils point traités par vous…
Sois medecin, Phoebus, de la Mais… Qui tient mon Prince en servage s… Vole à son lict, et luy taste le p… Il faut qu’un Dieu guarisse une D… Mets en effect ton mestier, et ne…
Elle est bâtie en terre, et la sau… Orne un faite croulant ; toiture m… Il en sort, le matin, une lente fu… (Voyez) belle au soleil, blanche e… Le clair ruisseau des monts coule…
Octobre à son manteau d’azur fourr… Arbore ce matin les joyaux de l’hi… Le ruisseau fume, un fin brouillar… Le jardin blanc miroite au soleil,… Et chatoie et ses fils de perles s…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand cœur et la glo… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
Il en est encore une au monde, Je la rencontre quelquefois, Je dois vous dire qu’elle est blon… Et qu’elle habite au fond des bois… N’était que Vous, Vous êtes brune
Dans le Generalife, il est un lau… Gai comme la victoire, heureux com… Un jet d’eau, son voisin, l’enrich… Une perle reluit dans chaque fleur… Et le frais émail vert se rit des…
Astres de nos rêves, Témoins de nos souvenirs Et vacillantes présences! A l’orée des chemins de nos hésita… Nous reniez-vous,
Aie une âme hautaine et sonore et… Tais-toi, mure ton seuil, car la l… Forge en sceptre l’or lourd et rou… Ferme ton cœur à la rumeur soûle d… Entends parmi le son des flûtes pu…
II. C’est fini. Le silence est partou… Vive Poulmann césar et Soufflard… On fait des feux de joie avec les… La porte Saint-Denis sous ses hau…
Je nais parmi une multitude d’autr… On m’abreuve lentement tout pareil… On me voit comme on voit toutes ce… Je meurs seul, je ne suis plus cet… On apprend au jeune enfant à march…
Dans le chemin La tête creuse Quand le matin réveille le dormeur L’arbre rempli de mots qui s’envol… de fruits mûrs ou d’oiseaux
Voici venu le froid radieux de sep… Le vent voudrait entrer et jouer d… Mais la maison a l’air sévère, ce… Et le laisse dehors qui sanglote a… Comme toutes les voix de l’été se…
Dompteur à peine né, qui tuais dan… Les Dragons de la Nuit ! Cœur-de… Qui perças l’Hydre antique au sou… Dans la livide horreur des brumes… Et qui, sous ton œil clair, vis ja…
Elles seraient la nacre au bord de… Si les nacres avaient ces humaines… Elles seraient le rose et le satin… Si les roses vivaient aux barreaux… Il semble qu’une fée, en de lointa…
C’est l’être extrême. Dieu, c’est le jour sans borne et… Lui, l’incommensurable, il n’a poi… Il ne se venge pas, il ne pardonne… Son baiser éternel ignore la morsu…
« Du vin ! Nous sommes trois ; du… Hôtesse ! nous voulons chanter jus… As-tu toujours ta vigne et ta fill… L’amour, le vin, voilà les seuls b… —Entrez, seigneurs, entrez.... le…
À Madame Fernand Barthe. LA CÉTOINE-EMERAUDE. Quand la lune apparaît, silencieus… Dans le cœur embaumé d’une rose en… Je me blottis sans crainte et jusq…
Il n’est pas mort, Ami, ce poète… Il n’est pas mort, Ami, tu le dis… II ne dort pas, il veille, étince… La flamme, je l’étouffe, et je ret… Que dire et que chanter quand la p…
Sonnet. Le soleil sur les monts s’écroule, S’empourpre, et, graduellement, Rétrécit son rayonnement, Toujours plus se ramasse en boule.
Le jour se penche sur le fleuve du… Il cherche à ressaisir Les armes tôt perdues, Les joyaux de la mon enfaniine pro… Il n’ose pas savoir