Sonnet. Le dieu du laboureur est comme un… De chair et d’os, seigneur du cham… Le dieu de son curé règne aussi, m… Trois fois unique, esprit, fils et…
À Leconte de Lisle. Quand on vieillit, on aime à lire… Comme on aimait, enfant, Robinson… Le berceau de Moïse et l’arche de… Achevant sur les monts sa haute tr…
Il fut le très subtil musicien des… Qui se plaignent en de nocturnes s… Il nota le murmure des herbes jaun… Entre les pavés gris des cours d’a… Il trouva sur la viole des dévots…
Pourquoi la renier ? Je n’ai pas de colère. Ô mon amour dernier, Ô chose bleue et claire ! Pourquoi me souvenir
Dompteur à peine né, qui tuais dan… Les Dragons de la Nuit ! Cœur-de… Qui perças l’Hydre antique au sou… Dans la livide horreur des brumes… Et qui, sous ton œil clair, vis ja…
Sonnet XVII. Après avoir longtemps erré sur le… Où l’on voit lamenter tant de chét… Tu as atteint le bord où tout le m… Fuyant de pauvreté le pénible serv…
Ô toi dont l’oreille s’incline Au nid du pauvre passereau, Au brin d’herbe de la colline Qui soupire après un peu d’eau ; Providence qui les console,
Dans les taillis vivants l’insecte… Oh ! la grande herbe verte et le g… Dieu travaille : oubliez ce que le… Les oiseaux tout joyeux jasent dan… L’air est calme ; le ciel resplend…
Sonnet CXIV. Ô trois et quatre fois malheureuse… Dont le prince ne voit que par les… N’entend que par ceux-là qui répon… Aveugle, sourd et mut plus que n’e…
Ô Vie ! aurais-je pu tendre un cœu… Vers l’amour dont tu fais l’étoile… Vers l’amour nécessaire aux résurr… Derrière moi, pourtant, s’efface m… Et je demande encore à connaître u…
C’est la nuit ; la nuit noire, ass… L’ombre immense élargit ses ailes… Dans vos joyeux palais gardés par… Dans vos lits de velours, de damas… Sous vos chauds couvre-pieds de ma…
Sonnet. De grêles horizons noyés d’un brou… Et plaquant tout autour leur bordu… Sur un ciel moite et bas d’où pour… D’un nuageux funèbre où du gris s’…
C’est fini pour aujourd’hui, Comme pour demain et hier, La furieuse fureur m’appuie, Comme mes opinions dans l’air. Seul contre tous, libre, j’avance,
Les poules philosophent sous l’auv… le renard fuit vers son gîte, l’eau clapote au bassin et nous ac… bonjour ! Une chapelle dans la plaine lance…
Déesse aux yeux d’azur, aux épaule… Belle muse païenne au sourire ador… Viens, laisse-moi presser de ma lè… Ton front qui resplendit sous un p… Vois-tu ce vert sentier qui mène à…
Viens, mon cher Olivier, j’ai deu… Ma mère l’a permis ; ils te rendro… Eh bien ! je n’ose plus. Mais, di… Ma mère l’a permis, regarde dans m… Voilà mes yeux baissés. Dieu ! qu…
Sonnet LXXXVI. Par ses yeux conquerans fust trist… Ma serve liberté, en la propre sai… Que le soleil plus chault reprend… Sa course d’autre part qu’il ne l’…
Terre, que fallut-il quand l’Euro… Ne pouvait retenir la France débo… Et grosse de fléaux ; Quand les trônes des rois chancela… Quand nos champs se vidaient, quan…
Chanson. On entend au loin la chanson des m… Ô ménétrier ! prends ton violon. Les gais rossignols égrènent des p… Quel beau soir ! Dansez, filles d…
Oh ! lorsque incessamment tant de… S’impriment à la rame, Et que notre Thalie accouche tous… D’un nouveau mélodrame ; Que les analyseurs sur leurs gros…
Me voici désormais dans ce cadre o… Oublié de tous, hors duquel je viv… Puis moins qu’un tibia de Neander… Cent ans après plus personne me co… Squelette au chandelier de bougies…
Avez-vous quelque espoir dans la p… Mais on s’arme. Toujours l’homme,… Toujours le « væ victis » du Barb… Et la fraternité n’est qu’un fade… Sous la tunique sombre ou sous le…
Un roi de Perse, certain jour, Chassait avec toute sa cour. Il eut soif, et dans cette plaine On ne trouvait point de fontaine. Près de là seulement était un gran…
Ou puis parfont de ma merencolie L’eaue d’Espoir que ne cesse tire… Soif de Confort la me fait desire… Quoy que souvent je la trouve tari… Necte la voy ung temps et esclerci…
Seigneur, Seigneur ! Se peut-il q… Quittez enfin cette étroite demeur… Venez à nous ! Christ, Fils de Dieu, né du sein… Qu’attend le ciel, que la terre ré…
C’est l’être extrême. Dieu, c’est le jour sans borne et… Lui, l’incommensurable, il n’a poi… Il ne se venge pas, il ne pardonne… Son baiser éternel ignore la morsu…
Dans le ciel clair rayé par l’hiro… Le matin qui fleurit comme un divi… Parfume la feuillée étincelante et… Où les nids amoureux, palpitants,… A la cime des bois chantent à plei…
Pierre… À la g… Pour u… Que je… (Berçe…
Deux fois je regarde ma montre, Et deux fois à mes yeux distraits L’aiguille au même endroit se mont… Il est une heure... une heure aprè… La figure de la pendule
Dans une ménagerie De volatiles remplie Vivaient le Cygne et l’Oison : Celui-là destiné pour les regards… Celui-ci pour son goût ; l’un qui…