Il chante encor, l’essaim railleur… Bien protégé par l’épine et le hou… Que le zéphyr caresse par bouffées… Diane aussi, l’épouvante des loups… Au fond des bois cache son cœur ja…
Vois. Un ciel cuivré d’automne Et, sous ce ciel presque roux, Un bois léthargique et doux, Des fleurs, et la mer bretonne. Les fleurs vont mourir ; le bois
L’Homme a été créé par l’homme Mais qu’y avait-il avant l’Homme… Qu’y avait-il avant l’oeuf, le pou… Ce dont je suis sûr, c’est que l’… Ces frontières sont comme une guér…
Comme les jours dorés sont longs A s’endormir dans les vallées ; Les massifs d’arbres sont moins bl… D’où la clarté s’en est allée ; Mais il traîne sur les rameaux
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
À Francfort-sur-le-Mein l’on entr… De ne voir qu’élégance, éclat, fas… Ô Francfort, qu’as-tu fait de ta v… Marraine des Césars, où donc est… Mais plus loin, à travers l’or fau…
Justice est le ciment des Etats m… L’arc-boutant de la paix, le bras… Fille aînée de Dieu, trésorière d… La base de l’Etat, l’âme des répu… Sans qui le souffle ardent des esp…
Parce que de la viande était à poi… Parce que le journal détaillait un… Parce que sur sa gorge ignoble et… La servante oublia de boutonner so… Parce que d’un lit, grand comme un…
Le temps n’a point pâli ta souvera… Telle qu’un jour d’été, jadis, tu… Debout, battant du linge au bord d… Je te revois, fille aux bras nus. C’est dans une prairie où la chale…
Les brouillards sont venus, dont l… Charge dès le matin la plaine et l… Pâle et froide vapeur qu’à peine u… Les feuilles que l’eau trempe et q… Tourbillonnent dans l’air ; la bis…
Parfois l’historien qui sonde Les grands règnes évanouis, Ou sur les horizons du monde Fixe ses regards éblouis, Voyant dans quelle nuit profonde
Vignes du Languedoc, oliviers des… Toi qui dresses si haut ton front… Alpes du Dauphiné, forêts, monts… Dans la plaine à vos pieds que reg… Les pics et les coteaux, les vigne…
L’Espérance est un merle blanc Dont nous sommes la triste haie : Elle voltige sur la plaie Et siffle au bord du cœur tremblan… Mais son vol n’est qu’un faux semb…
J’ai cueilli le lis, J’ai cueilli la rose ; Je les ai cueillis, Et je les dépose A vos pieds de rose,
Un soir, je vis une hirondelle Descendre du haut du ciel bleu Et s’élancer à tire d’aile Sous les absides du saint lieu. Et depuis, dans les vapeurs blanch…
Les cavaliers se tiennent sur la route et de profil. On ne sait plus quel est leur nombre. Contre la nuit qui ferme le chemin, entre la rivière et le pont une source qui pleure—un arbre...
Les vents fougueux, les vents déch… Contre les noirs écueils, ce soir,… Qu’ils soufflent ! Sous le toit d… Tu pourras, sans danger, dormir to… Au bruit tumultueux de la vague ir…
« A quoi songes-tu donc de t’engou… Serais-tu désormais à ce point rad… Géant qu’on disait si farouche ? Depuis plus d’un long mois, à quoi… D’être là, somnolent, de languir a…
Sonnet. La Grande Ourse, archipel de l’oc… Scintillait bien avant qu’elle fût… Bien avant qu’il errât des pâtres… Et que l’âme anxieuse eût habité l…
Las ! je suis à l’Index et dans l… Me voici Paul V... pur et simple.… De mes amis, tant les éditeurs son… Doivent éliminer mon nom de leurs… Extraordinaire et saponaire tonner…
Oui, mon pays est encor France : La fougue, la verve, l’accent, L’âme, l’esprit, le coeur, le sang… Tout nous en donne l’assurance : La France reste toujours France.
Le sable du ravin est rouge. L’ea… Fait un bruit de baisers sur les c… L’air bleuit, et là-bas les cloche… Répandent l’angélus du soir aux qu… J’écoute ; le geai crie et le rami…
Je rêve les rythmes, les phrases Qui montent dans un vol de feu, À travers le ciel des extases, Vers le beau, vers le vrai, vers… Mon oreille éperdue essaie
Si peu nombreux encore, tes jours… Jeune année, et ton front est enve… De ces nuages noirs, qui déguisent… Descendant les frimas à flots sile… Comme le froid chagrin sur une âme…
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras... gau… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :