Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
(Pour Jeanne seule.) II. Jeanne chante ; elle se penche Et s’envole ; elle me plaît ; Et, comme de branche en branche,
Rien n’est plus beau que le vrai. Dangereux ennemi de tout mauvais f… Seignelay, c’est en vain qu’un rid… Prêt à porter ton nom de l’Èbre ju… Croit te prendre aux filets d’une…
L’oiseau vigilant nous réveille, Et ses chants redoublés semblent c… Jésus se fait entendre à l’âme qui… Et l’appelle à la vie où son jour… Quittez, dit-il, la couche oisive
Les étoiles sont près du toit et l… Un sillon tortueux creuse le sol a… Du pavillon Du temple De la ville
Les mains levées vers un point où… robuste Qui se vengera Même si tout retombe au silence po… Et moi sans être battu ni vainqueu… Derrière le porte-manteau mobile c…
Vois. Un ciel cuivré d’automne Et, sous ce ciel presque roux, Un bois léthargique et doux, Des fleurs, et la mer bretonne. Les fleurs vont mourir ; le bois
La rue au flanc du roc serpente re… Les filets font de longs treillis… A tous les coins la mer, fermant l… Fait trembler sur les murs une ban… La bonne odeur de l’eau monte avec…
La jeune fille : Beau papillon qui viens à ma fenêt… Te réjouir sur le sein de mes fleu… Petit coquet, tu les trahis peut-ê… Car à chaque aube on les voit tout…
Le sentier que j’aime le mieux Quitte en sournois la route blanch… Où passent trop de curieux, Et disparait entre les branches. Celui qui traça son parcours
Te souviens-tu de ce matin d’hiver… De la dernière et chère promenade… Il faisait beau, le soleil était c… C’était un temps d’heureux ou de m… C’était aussi notre pays charmant,
Une monde tellement fou, où rien n… Va gagner ton argent, le perdre pa… Roule sur l’autoroute, et sent le… Regarde toi vivre, quatre roues et… Tant user ton vélo, par goût des b…
Parmi la chaleur accablante Dont nous torréfia l’été, Voici se glisser, encor lente Et timide, à la vérité, Sur les eaux et parmi les feuilles…
Même en deuil pour cent trahisons, À vos soleils nous embrasons Nos cœurs meurtris, jeunes saisons… Ô premières roses trémières ! Ô premières amours ! Premières
Stance X. Le miel sucré de vostre grâce, Le bel astre de vostre face Meurtrière de tant de cueurs Ne sorte de ma souvenance ;
À Francfort-sur-le-Mein l’on entr… De ne voir qu’élégance, éclat, fas… Ô Francfort, qu’as-tu fait de ta v… Marraine des Césars, où donc est… Mais plus loin, à travers l’or fau…
N’est elle de tous biens garnie ? Celle que j’aime loyalement ; Il m’est advis, par mon serment, Que sa pareille n’a en vie. Qu’en dites-vous ? je vous en prie…
Tête penchée Cils recourbés Bouche muette Les lampes se sont allumées Il n’y a plus qu’un nom
C’est fini pour aujourd’hui, Comme pour demain et hier, La furieuse fureur m’appuie, Comme mes opinions dans l’air. Seul contre tous, libre, j’avance,
Vous pensez tous avoir un bon ento… Des amis, des proches et des êtres… Des camarades, des sœurs et des fr… Mais au plus profond de vous, tout… Ils pourraient vous poignardés par…
L’habit râpé Vivent les bas de soie et les soul… La chaise dépaillée Dieu dit aux bons fauteuils : faut… Le poêle froid
Les bateaux s’étageaient dans le t… Où les hommes jouaient aux cartes Les mots les plus légers montent j… Devant eux la fumée s’écarte Les autres battent des ailes dans…
A la petite fenêtre, sous les tuiles, regarde. Et les lignes de mes yeux et les lignes des siens se croisent. J’aurai l’avantage de la hauteur, se dit-elle. Mais en face on pousse les v...
Sur l’Alpe étincelante et haute Le soleil tombe et se répand. Le chemin enlace à mi-côte La montagne comme un serpent. Ainsi que dans une revue
En avant le destin, allons vers l… Devant est notre chemin, au loin e… Nombreux seront les freins, seul m… m’offrira le divin, ouvrant le por… Mais le doute me dépeint, une fres…
Dieu fit votre corps noble et votr… Le corps sort de la terre et l’âme… L’un est un amoureux et l’autre es… Dans la paix d’un jardin vaste et… Dieu souffla dans un peu de boue u…
–Subsister décrépits, déchus, mais… Des ombres que le vent chasse, inf… N’avoir de chair et d’os que pour… Plutôt que, purs esprits dégagés d… Vaguer insouciants dans le vide ét…
Hanté de souvenirs, l’âme pleine d… Je viens à ta beauté, seul, en pèl… Pays qui me fus bon. De gradin en gradin, de pensée en… J’ai gravi le sommet de l’arête dr…
Mourir dans la buée ardente de l’é… Quand parfumé, penchant et lourd c… Le coeur, que la rumeur de l’air b… S’égrène en douloureuse et douce v… Mourir, baignant ses mains aux fra…
Assis sur le versant des coteaux m… D’où l’œil domine l’Oise et s’éte… Avant le soir, après la chaleur tr… À cette heure d’été déjà plus tièd… Au doux chant, mais déjà moins nom…