#ÉcrivainsFrançais
Le point de l’appareil montre le r… Le regard Le hasard des mots venant au bout… Le retard du lever de la toile Sous les lampes vides et presques…
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
La rue est toute noire et la saison n’a pas laissé de traces. J’aurais voulu sortir et l’on retient ma porte. Pourtant là-haut quelqu’un veille et la lampe est éteinte. Tandis que les b...
Avec des lumières à travers la prairie étincelante ; et des voix insignifiantes mais nombreuses—quelques unités soutenant l’ensemble—on a fait le paysage clair, la nature libre, les omb...
Le masque honteux cachait ses dent… Un autre œil voyait qu’elles étaie… Où cela se passe-t-il ? Et quand ? Il est seul, il pleure, malgré l’o…
La foule descendait plus vite et en criant. Ils venaient tous du fond, de derrière les arbres, de derrière le bois du cadre, de la maison. Chaque visage blanc avait un regard animé—et s...
Les bateaux s’étageaient dans le t… Où les hommes jouaient aux cartes Les mots les plus légers montent j… Devant eux la fumée s’écarte Les autres battent des ailes dans…
Le soir Il y a des bras dans la rue qui s’… Des mains dans le jardin Des plaies qui saignent Il y a des murmures dans le vent
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...
Une tête penchée sous le poids des… Et les mains transpercées par des… Le front sanglant posé sur les nua… Les deux bras étendus pour barrer… Le monde est passé sous tes pieds
Je croise la maison toujours inhab… Là se tient le grand homme lourd e… La rive est plus basse que l’eau Le ciel est plus profond et moins… Je crois que les voisins sont asse…
Dans la rue ce sont avec la couleu… ciel large et bas les pavés luisan… La rue est divisée en cadres blanc… marque son pas où la pluie joue au… les grosses gouttes de l’orage
Je n’aurais jamais voulu revoir to… Tes joues creuses et tes cheveux a… Je suis parti à travers champs Sous les bois humides Jour et nuit
S’arrêter devant le soleil Après la chute ou le réveil Quitter la cuirasse du temps Se reposer sur un nuage blanc Et boire au cristal transparent
Assis sur l’horizon Les autres vont chanter Et nous nous avons regardé La voiture en passant souleva la p… Et tout ce qui traînait retomba pa…