Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Complainte de la mer dans le fracas du vent Tout ce qu’elle vocifère et qu’ell… Tout ce qu’elle tait soudain Silencieuse étale et plate calmeme…
Ma seule amour, ma joye et ma mais… Puisqu’il me fault loing de vous d… Je n’ay plus riens, à me reconfort… Qu’un souvenir pour retenir lyesse… En allegant, par Espoir, ma destr…
(Sur la mort d’Iris en 1654.) Parmi les doux transports d’une am… Je voyais près d’Iris couler mes… Iris que j’aime encore, et que j’a… Brûlait des mêmes feux dont je brû…
Scaramouche et Pulcinella, Qu’un mauvais dessein rassembla, Gesticulent, noirs sur la lune. Cependant l’excellent docteur Bolonais cueille avec lenteur
Clydie, au crépuscule assise dans… Regarde, à l’orient, de ses beaux… Les constellations, claires géomét… Au velours bleu du soir fixer leur… Mélanthe les indique et, le doigt…
Isur le perron de la mairie de la place Saint-Sulpice à Paris où tu passais très vite lorsque j’étais enfant riant dans les feuilles du vent Je te salue oiseau marrant oiseau si heureux...
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
Penché contre un grand fleuve, inf… M’arrachent à regret aux riants en… Âme aux pesantes mains, pleines de… Il faut que le ciel cède au glas d… Le coeur dur, l’oeil distrait des…
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…
Qui pleure là, sinon le vent simpl… Seule, avec diamants extrêmes ?...… Si proche de moi-même au moment de… Cette main, sur mes traits qu’elle… Distraitement docile à quelque fin…
Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes
Par je ne sais quelle aventure, Un avare, un beau jour, voulant se… Au marché courut acheter Des pommes pour sa nourriture. Dans son armoire il les porta,
Quand chez les débauchés l’aube bl… Entre en société de l’Idéal ronge… Par l’opération d’un mystère venge… Dans la brute assoupie un ange se… Des Cieux Spirituels l’inaccessib…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
Rue de Seine DIX heures et demie le soir au coin d’une autre rue un homme titube... un homme jeune
Comme on voit sur la branche, au m… En sa belle jeunesse, en sa premiè… Rendre le Ciel jaloux de sa vive… Quand l’Aube, de ses pleurs, au p… La Grâce dans sa feuille, et l’Am…
Sur un groupe du Statuaire E.… Heureux qui, possédant la Chimère… Livre au Monstre divin un cœur en… Et savoure, pour mieux s’anéantir… L’extase de la mort et de la volup…
Ce que j’aime à voir, ce que j’aim… Ce que j’aime à voir, Veux-tu le savoir ? Ce sont tes beaux yeux, c’est ta t… Ce sont tes beaux yeux,
Tout amoureux, de sa maîtresse, Sur son coeur ou dans son tiroir, Possède un gage qu’il caresse Aux jours de regret ou d’espoir. L’un d’une chevelure noire,
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
Vous je ne vous regarde pas ma vie non plus ne vous regarde pa… J’aime ce que j’aime et cela seul me regarde
J’ai appris très tard à aimer les… je le regrette un peu mais maintenant tout est arrangé on s’est compris ils ne s’occupent pas de moi
Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs un jardin des fleurs un sculpteur qui sculpte des Napoléon la fleur qu’on appelle aussi deux amoureux sur un grand lit un receveur...
Notre-Dame Que c’est beau ! Victor HUGO. En passant sur le pont de la Tour… Je me suis arrêté quelques instant…
Le soleil gît sur le sol Litre de vin rouge brisé Une maison comme un ivrogne Sur le pavé s’est écroulée Et sous son porche encore debout
Dans un petit bateau Une petite dame Un petit matelot Tient les petites rames Ils s’en vont voyager
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires
Du soleil soutenant la puissante p… Qui plane et s’abandonne à l’oeil… Regard !... Je bois le vin célest… Le grain mystéri-eux de l’extrême… Je porte au sein brûlant ma lucide…