#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Je n’aime pas dormir quand ta figu… La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vi… Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c’est ce…
Avec en lui déjà l’affreux désir q… Pour avoir découvert la tendre ago… Cachant ses traits fanés sous le m… Sous le mensonge exquis de sa rian… Pour avoir respiré, sur ses canaux…
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Tu écartes dans tous les sens tes… Soleil du soir, cerisier en fleurs… Voici de mars en nous que déferlen… Embruns d’amour inconnus sur les d… Ici ne furent semés qu’hommes bleu…
Soyons courageux, soyons fous, Jamais aucune économie Jamais se demander jusqu’où, La sagesse est une momie.
La minute m’a dit : « Presse-moi… Tu ne sais aujourd’hui si tu seras… Ainsi prends tout le suc qui m’enf… Ne tourne pas la tête et ne passe… Vis-moi !...dans un instant, je se…
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…
Soleil je t’adore comme les sauvag… à plat ventre sur le rivage Soleil tu vernis tes chromos tes paniers de fruits, tes animaux Fais-moi le corps tanné, salé,
Cent ans j’avais dormi. Vint le p… Il était gai, naïf, infaillible, é… Mais il m’a réveillé de ce sommeil… Je ne peux pas dire comment.
Tu ne laisserais pas faire le moin… Aux animaux que tu rencontres dans… Mais tu peux torturer comme un pau… Celle par qui la chance un jour t’… Tes griefs sont si longs si courts…
Ne réveillez pas Dieu, il dort Profondément, c’est moi son rêve..… Le réveiller serait ma mort.
Je dis : tu n’auras qu’un poème Et voilà que j’en glisse deux L’un pour te répéter : « Je t’aim… L’autre : « Je suis ton amoureux…
Il allait en silence au milieu des… Il feignait d’être sourd à l’unani… Il souriait avec des lèvres défris… Un bandeau noir ceignait les boucl… Et je lui demandai : « Jeune homm…
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…