Le bras sur un marteau gigantesque… D’ivresse et de grandeur, le front… Comme un clairon d’airain, avec to… Et prenant ce gros-là dans son reg… Le Forgeron parlait à Louis Seiz…
Cette nuit-là je regardais la lune Oui j’étais à ma fenêtre et je la regardais et puis j’ai quitté ma fenêtre je me suis déshabillée
Je respire où tu palpites, Tu sais ; à quoi bon, hélas ! Rester là si tu me quittes, Et vivre si tu t’en vas ? A quoi bon vivre, étant l’ombre
L’enfance dans le lointain de la jeunesse l’adolescent la méprise et ne veut… ce n’est plus moi dit-il c’est un petit qui ne sait pas ce…
Oh la terrible et surprenante odeu… meurt c’est l’été et pourtant les… Edmond chef de famille chef de bur… dans son pavillon de chef-lieu de… Il faut laver son linge sale en fa…
Jour beni C’est ton jour Où tu es né Un sacré jour Joie apportée
memento mori ...c’est la vie nestled in your seat looking out from a plane at the cloud you muse from a chill
Il est terrible le petit bruit de l’œuf dur cassé… il est terrible ce bruit quand il remue dans la mémoire de… elle est terrible aussi la tête de…
A jeun perdue glacée Toute seule sans un sou Une fille de seize ans Immobile debout Place de la
Braves gens écoutez ma complainte écoutez l’histoire de ma vie c’est un orphelin qui vous parle qui vous raconte ses petits ennuis hue donc...
Il y a sur la plage quelques flaqu… Il y a dans les bois des arbres fo… La neige fond dans la montagne Les branches des pommiers brillent… Que le pâle soleil recule
Les bourgeons verts, les bourgeons… Percent déjà le bout des branches, Et, près des ruisseaux, des étangs Aux bords parsemés de pervenches, Teintent les arbustes tremblants ;
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
Eternité Quatre-vingts cinq ans Ne semblent pas très grand chose Lorsqu’on l’a déjà Quatre-vingts cinq ans
Il est des jours– avez—vous remarq… Où l’on se sent plus léger qu’un o… Plus jeune qu’un enfant, et, vrai… Que la même gaieté d’un damoiseau. L’on se souvient sans bien se rapp…
Moi je joue du piano disait l’un moi je joue du violon disait l’autre moi de la harpe moi du banjo
Quand Don Juan descendit vers l’o… Et lorsqu’il eut donné son obole à… Un sombre mendiant, l’oeil fier co… D’un bras vengeur et fort saisit c… Montrant leurs seins pendants et l…
Par je ne sais quelle aventure, Un avare, un beau jour, voulant se… Au marché courut acheter Des pommes pour sa nourriture. Dans son armoire il les porta,
Heureux le voyageur que sa ville c… Voit rentrer dans le port, aux pre… Qui salue à la fois le ciel et la… La vie et le bonheur, le soleil et… —Regardez, compagnons, un navire s…
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
Que faites-vous là petite fille Avec ces fleurs fraîchement coupées Que faites-vous là jeune fille Avec ces fleurs ces fleurs séchées Que faites-vous là jolie femme Avec ces fleurs qui ...
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les Et sitôt qu’il est seul Travaille arbitrairement S’érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l’honneur des travailleu...
Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe
Ce toit tranquille, où marchent de… Entre les pins palpite, entre les… Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours recommenc… Ô récompense après une pensée
Le petit homme qui chantait sans c… le petit homme qui dansait dans ma… le petit homme de la jeunesse a cassé son lacet de soulier et toutes les baraques de la fête
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
Dans une boite de paille tressée Le père choisit une petite boule d… Et il la jette Dans la cuvette Devant ses enfants intrigués
La lune mince verse une lueur sacr… Toute une jupe d’un tissu d’argent… Sur les bases de marbre où vient l… Que suit d’un char de perle une ga… Pour les cygnes soyeux qui frôlent…
J’implore ta pitié, Toi, l’unique… Du fond du gouffre obscur où mon c… C’est un univers morne à l’horizon… Où nagent dans la nuit l’horreur e… Un soleil sans chaleur plane au-de…
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…
Il n’avait peur de personne Il n’avait peur de rien Mais un matin un beau matin Il croit voir quelque chose Mais il dit
... Je compose en esprit, sous les… L’Admirable !... le feu, des cirq… Il change le mont chauve en august… D’où s’exhale d’un dieu l’acte ret… Si le dieu chante, il rompt le sit…
Rien n’est jamais acquis à l’homme… Ni sa faiblesse ni son coeur Et q… Ouvrir ses bras son ombre est cell… Et quand il croit serrer son bonhe… Sa vie est un étrange et douloureu…
Le paon fait la roue le hasard fai… Dieu s’assoit dedans et l’homme le…
Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d’autrefois, Où l’eau court, où le buisson trem… Dans la maison qui touche aux bois… Elle avait DIX ans, et moi trent…
Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
On dirait ton regard d’une vapeur… Ton oeil mystérieux (est-il bleu,… Alternativement tendre, rêveur, cr… Réfléchit l’indolence et la pâleur… Tu rappelles ces jours blancs, tiè…
Je suis comme je suis Je suis faite^comme ça » Quand j’ai envie de rire Oui je ris, aux éclats J’aime celui qui m’aime
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
C’est les feuilles du Jeudi . Des mots .. qui font froid dans le… Qui feront quelques vagues . La manœuvre .. qui avait donnée d… C’est l article de l histoire ..…
Dans ma maison vous viendrez D’ailleurs ce n’est pas ma maison Je ne sais pas à qui elle est Je suis entré comme ça un jour Il n’y avait personne
—Elle était fort déshabillée Et de grands arbres indiscrets Aux vitres jetaient leur feuillée Malinement, tout près, tout près. Assise sur ma grande chaise,
Une nuit que j’étais près d’une af… Comme au long d’un cadavre un cada… Je me pris à songer près de ce cor… À la triste beauté dont mon désir… Je me représentai sa majesté nativ…
L’effort humain n’est pas ce beau jeune homme sour… debout sur sa jambe de plâtre ou de pierre et donnant grâce aux puérils artif…
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux.
Viens, mon beau chat, sur mon coeu… Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes bea… Mêlés de métal et d’agate. Lorsque mes doigts caressent à loi…
Par les soirs bleus d’été, j’irai… Picoté par les blés, fouler l’herb… Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur… Je laisserai le vent baigner ma tê… Je ne parlerai pas, je ne penserai…
C’est le Prélude de Mai . Le poète Alain est devenu le pass… C’est le choix .. le poids des mot… L article .. qui resteras gravé s… J avais quitté la Cité médiévale…
Tes yeux sont si profonds qu’en me… J’ai vu tous les soleils y venir s… S’y jeter à mourir tous les désesp… Tes yeux sont si profonds que j’y… À l’ombre des oiseaux c’est l’océa…
Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde
Viens-tu du ciel profond ou sors-t… O Beauté ? ton regard, infernal e… Verse confusément le bienfait et l… Et l’on peut pour cela te comparer… Tu contiens dans ton oeil le couch…
Vous avez empoigné les cries de la… Avec un tel poignet, qu’on vous eû… Et cet air de maîtrise et ce beau… Pour un jeune ruffian terrassant s… L’oeil clair et plein du feu de la…
De sa grâce redoutable Voilant à peine l’éclat, Un ange met sur ma table Le pain tendre, le lait plat ; Il me fait de la paupière
Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n’est pas celui d’un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t’adore, ô ma frivole,
L’âne le roi et moi Nous serons morts demain L’âne de faim Le roi d’ennui Et moi d’amour
L’un t’éclaire avec son ardeur, L’autre en toi met son deuil, Nat… Ce qui dit à l’un : Sépulture ! Dit à l’autre : Vie et splendeur… Hermès inconnu qui m’assistes
Comme d’un cercueil vert en fer bl… De femme à cheveux bruns fortement… D’une vieille baignoire émerge, le… Avec des déficits assez mal ravaud… Puis le col gras et gris, les larg…
Le long du vieux faubourg, où pend… Les persiennes, abri des secrètes… Quand le soleil cruel frappe à tra… Sur la ville et les champs, sur le… Je vais m’exercer seul à ma fantas…
Ma pauvre muse, hélas ! qu’as-tu d… Tes yeux creux sont peuplés de vis… Et je vois tour à tour réfléchis s… La folie et l’horreur, froides et… Le succube verdâtre et le rose lut…
J’ai mis mon képi dans la cage et je suis sorti avec l’oiseau sur… Alors on ne salue plus a demandé le commandant