Blokusine est ton gris sans chemin de traverse Des panneaux qu’on écorce de bois et vitres sur la mer Jetée en veux-tu des mâts
A chaque berceuse de la mère, Renaissent toutes les étoiles. A chacun de ses baisers, Rient les lèvres parfumées De toutes les splendides nouvelles…
Regardez-les tous deux : c’est un… Qui, les mains dans les mains, cau… Du pétulant jeune homme à la voix… La jeune fille émue écoute les ser… Mais qu’ils sont loin déjà ces mag…
....................................................................................astronomiques anatomies Synopsis : prose sur ma douteuse éternité, et saluts appuyé à mes organes et ...
amour que j’ai pour toi est comme un siècle oublier mais y a toujours un objet ou un souvenir qui me rappelle de toi mais je vais refouler mes sentiment et tout lrs souvenirs que j’ai d...
Je connais plus d’un sot qui loue Comme le trésor le plus beau, L’amour que le bon peuple voue A ceux qui suivent son drapeau. Du peuple que me fait l’estime ?
Viens ! ô viens avec moi sur la me… Qu’aux vents capricieux ma barque… Tu seras ma compagne, alors que le… Colore l’Océan de son éclat verme… Ou lorsque, s’échappant de la nue…
Le nez dans le trèfle 7 ans a peine Pas de souci Pas de rêve Génération d’après guerre
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras...gauc… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :
Ursin, quand j’oy nommer de ces vi… De ces beaux noms connus de l’Ind… Non les grands seulement, mais les… Voire ceux-là qui ont les ampoules… Il me fâche d’ouïr appeler ces vil…
Tes yeux se posent sur mes pleurs Et mon cœur palpite vainement. Ces mots retournés à l’envoyeur S’entassent en moi difficilement. Il n’y a bientôt plus de place,
ELLE Là-bas, elle va...à la dérive déversant de partout ses charmes et le mystère que seulement elle p… déchiffrer avec sa sa danse de gaz…
Vous devez me laisser au fond des… où règne le vide, le froid et le n… _ Si nous avions pu ne serait-ce qu’… dans notre mort le souvenir d’avoi…
Ses mots me transpercent Je ne sais pas dire pourquoi Il n’y a rien de triste au fond Il n’y a jamais rien de triste Mes larmes je ne sais pas
Une page, une plume, le poète n’a pas de saisons, pas de nations, notre chance, notre différence.
Je remplirai des bouquins de toi Toute page vide que je trouverai Je t’y dessinerai d’un trait aiman… Tu pourras un jour les feuilleter Et y trouver ton véritable portrai…
(À l’occasion de la goutte dont He… fut attaqué au mois de janvier 160… Quoi donc ! c’est un arrêt qui n’é… Que rien n’est ici-bas heureux par… Et qu’on ne peut au monde avoir co…
Seigneur, ne pensez pas d’ouïr cha… Les louanges du roi, ni la gloire… Ni celle que se sont les Châtillo… Ni ce temple sacré au grand Montm… N’y penser voir encor le sévère so…
Fable V, Livre III. Tous les jours on voit des marmots… Avec un peu de vent gonfler un peu… Tous les jours, avec de grands mot… Pour l’heureux du moment maint sot…
Cette virago, Ce militaire, Cet homme gros qui sent le suint d… Cet homme noir qui sent le curry, Cet enfant qui se tient sur le seu…
On a toujours dit Que les yeux sont le mirroir de l’… Ils sont là porte de la vérité Que la sincérité proclame Le lieu caché
J’ai le souvenir d’un prénom Dont je n’ai aucun souvenir J’essaie d’étancher Corps et âme L’abîme du savoir
Loin du cap de Penn’hor, où hurla… Sombre comme le rire amer des gran… Bonds sur bonds, queue au vent, cr… Va ! Cours, mon bon cheval, en ro… Qu’il est sombre, le rire amer des…
Ce n’est donc pas assez ; et de la… Ariste, c’est en vers qu’il vous f… Et la mienne pour vous n’en plaint… Cent vers lui coûtent moins que de… Son feu ne peut agir quand il faut…
HÉRITAGE Je pars et je vous laisse ces sile… Silences des flammes et des rigueu… Qui précédent rêves et nostalgies… vaines alternatives
Sonnet CXI. Je n’ai jamais pensé que cette voû… Couvrît rien de constant : mais je… Je veux, mon cher Morel, croire p… Que dessous ce grand Tout rien fe…
Le nez dans le trèfle 7 ans a peine Le monde m’appartient Et pourtant Toujours en haleine
La royale Damas, sous les cieux c… Dans la plaine embaumée et qui som… Parmi les caroubiers, les jasmins… Monte comme un grand lys empli de… L’orient se dilate et pleut en ger…
Transpira el temps en el cos d’un vers fet dona com un verb de tardor als ulls mentre camines És temps de castanyes i de fulles.
« Qu’est-ce qu’un homme Échos Éclair Éclats L’as-tu vue ? ».
Ils étaient là tous trois ! A tra… La lune révélait sur leurs mâles v… D’un héroïque espoir les présages… Sous leurs habits grossiers battai… Un serment généreux sort de ces bo…
Miroir ou mirage Je ne sais pas qui tu es J’ai écrit mille poèmes Dans le vide dans le vent Miroir ou mirage
Sonnet CII. On ne fait de tout bois l’image de… Dit le proverbe vieil : mais nous… De tout bois faire pape, et cardin… Et vêtir en trois jours tout une a…
Sonnet LVXXXIII. Ne pense, Robertet, que cette Rom… Soit cette Rome-là qui te soulait… On n’y fait plus crédit, comme l’o… On n’y fait plus l’amour, comme on…
Des feux du soir l’horizon se colo… J’entends gronder un tonnerre loin… L’air embrasé semble irriter encor… Ce mal brûlant qui dévore mon sein… Un bruit, un mot, tout accroît mon…
En vain l’Amour, disait Iris, Croit soumettre mon cœur surpris ; A ses traits il échappe. Je ris de ce méchant marmot, Et je le crois encore plus sot
Mon regard, posé sur ton corps à l… Ma peau brule, au contact de la ti… Ne restant plus que mon cœur Se battant contre la raison Pourvu que ton âme se mêle à la mi…
Jeune et svelte Atalante aux beau… De ton Pygmalion ta chair vivante… Lui seul a le secret de cette form… Divinisant les corps par sa main m… A son âme d’artiste ont été révélé…
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
Sonnet XL. Un peu de mer tenait le grand Dul… D’Itaque séparé, l’Apennin porte-… Et les monts de Savoie à la tête… Me tiennent loin de France au bor…
Les ailleurs d’un délire **** Ahmed Khettaoui/ Algérie **** Pourquoi lorsque je déterre mes dr…
On a mis des poteaux malhabiles, étiré les pelotes de nos fils qui ne tiennent qu’à une vie. On rase des talus, souches d’arbres toutes entrailles au vent, un vol plané d’oiseau sannom ...
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
En mon cœur n’est point escrite La rose ny autre fleur, C’est toy, blanche Marguerite, Par qui j’ay cette couleur. N’es-tu celle dont les yeux
le moment viendrait où tout triomp… ne serait que souvenir émietté sur le sentier de ta mémoire écorc… ce moment où tu repartirais sans désirs assouvi…
Sonnet CXIV. Ô trois et quatre fois malheureuse… Dont le prince ne voit que par les… N’entend que par ceux-là qui répon… Aveugle, sourd et mut plus que n’e…
Quand je pense à tes yeux et que j… Si seulement je pouvais me souveni… Si notre fin commence maintenant,…
Baïf, qui, comme moi, prouves l’ad… Il n’est pas toujours bon de comba… Il faut caler la voile, et de peur… Céder à la fureur de Neptune irri… Mais il ne faut aussi par crainte…
Sunday, c’est la légende du poète… Une analyse .. une rubrique, qui… C’est le hasard du combattant . Le poète avait colporté quelques m… C’est le plaisir du bon pénis joye…
D’une main engourdie il écrit ses… Dès le petit matin au soleil filtr… Sur la feuille vierge où il couche… Délie les mots mêlés sous un ciel… La plume posée sur l’ébauche d’un…
Je suis arrivé trop tard, seulement j’en ai eu conscience beaucoup trop tôt. Alors j’essaye de construire autour de moi cet univers qui me permet d’être compris, je m’entoure de retour ...
Vous cachez vos cheveux, la toison… Vous cachez vos sourcils, ces mous… Et vous cachez vos yeux, ces globe… Miroirs plein d’ombre où reste une… L’oreille ourlée ainsi qu’un gouff…
xx… Le dieu des arts, le dieu des vers A souvent consolé ma peine ; Entre Voltaire et La Fontaine, Oui, j’oubliai plus d’un revers.
Sur l’éloignement prochain de la c… La Roche, ou de la vicomtesse d’A… 1608. Le dernier de mes jours est dessus… Celle dont mes ennuis avaient leur…
Las où est maintenant ce mépris de… Où est ce coeur vainqueur de toute… Cet honnête désir de l’immortalité… Et cette honnête flamme au peuple… Où sont ces doux plaisirs, qu’au s…
Vivre mais à quoi bon, dans l’ombr… L’horizon s’efface, emportant nos… Chaque souffle devient un poids, u… Pause avant le silence, écho d’une… Les notes de notre histoire résonn…
Je te cherche ce matin comme tant… Dans l’aube et dans la clarté de l… Je te cherche au fond des bouteill… Et dans le mouvement des corbeaux Dans le vide derrière les choses j…
Sois medecin, Phoebus, de la Mais… Qui tient mon Prince en servage s… Vole à son lict, et luy taste le p… Il faut qu’un Dieu guarisse une D… Mets en effect ton mestier, et ne…
Notre nom n’a plus rien à énoncer ni une rivière invisible compagne
Ça l’est tellement, personne n’a l’air de s’en inquiéter. Tout est décevant, tant dans les manières de penser, que dans les agissements, encore une fois je suis déçu. J’aurai espéré, de...