Dans son berceau d’osier que l’aïe… Regardez-le dormir, le tendre nour… Nos fermiers sont deux fois heureu… C’est leur premier enfant, c’est l… Que la ferme au travail tout un jo…
Le dos chargé de bois, et le corps… Un pauvre bûcheron, dans l’extrême… Marchait en haletant de peine et d… Enfin, las de souffrir, jetant là… Plutôt que de s’en voir accablé de…
Ici gît dans ce tombeau foireux Rud’En-Souppe le valeureux, Qui voyant la guerre entreprise Au pays, et qu’on le cherchait, Se cacha dessous la chemise
Pour la paix dans mon cœur, je don… Pour la paix dans le pays, les nôt… Nous devons nous unir, traverser c… En faire une joie de vie, en rire… Sortir de son confort, amener d’au…
Mon petit grand-père, Comment ça va ? Ma petite grand-mère, Es-ce-que tu es là ? Je n’ai pas grand-chose
David, brûlé de pures flammes, Dans un chant aux notes divines, Pour faire soupirer deux âmes Croise des rimes féminines. La Volupté ravie embrase
Sonnet. Ici, le rocher, l’arbre et l’eau Font pour mon œil ce qu’il convoit… Tout ce qui luit, tremble ou miroi… Forme un miraculeux tableau.
Quelle soie aux baumes de temps Où la Chimère s’exténue Vaut la torse et native nue Que, hors de ton miroir, tu tends… Les trous de drapeaux méditants
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
Les fourriers d’Amours m’ont logé En ung lieu bien à ma plaisance, Dont les mercy de ma puissance, Et m’en tiens à eux obligé. Afin que tost soit abregé
Sous le marteau brutal tu tombes p… Avec indifférence un peuple destru… Te dépèce, ô vieux temple, ô maiso… Qui ne suffisais plus à l’orgueil… Lorsque d’une autre nef, plus bril…
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
J’aime qui m’aime, autrement non ; Et non pourtant, je ne hais rien, Mais voudrait que tout fut bien, À l’ordonnance de Raison. Je parle trop, las ! se fait mon !
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Je suis énervé, frustré, déçu et t… Ces initiateurs de la folie de ma… Initialement de mon unique parti, Qui me complexifie réellement ma v… Ils veulent en tout moment, me pro…
Ô Seigneur, exaucez et dictez ma p… Vous la pleine Sagesse et la tout… Vous sans cesse anxieux de mon heu… Et qui m’avez aimé de toute éterni… Car—ce bonheur terrible est tel, t…
En l’an 801 de Rome César Claudius convint De quelques mesures, afin D’aider au bonheur des hommes. Un aqueduc fut parfait,
La forêt songe, bleue et pâle, Dans un féerique demi-jour. Tout s’y voit spectral, d’aspect s… Par cette nuit d’ambre et d’opale. Là, c’est un cerf blessé qui râle.…
Il est si tard, il fait, cette nui… Si triste dans mon cœur et si froi… Où je marche d’un pas âpre, le fro… Arrêtant les sanglots sur mes lèvr… Par les ressorts secrets et rudes…
Je ne suis qu’au service, de toute… Redescendons d’un plan, la paix da… Reste sur ta colline, désherbe cha… Entre dans l’acropolis, perçois y… La lueur de l’esprit, les faits da…
Il y a des mains qui passent Quelque chose passe dans le vent Trois têtes au moins se balancent Mes yeux partent à fond de train J’arriverais à temps
Le soleil de ce jour d’automne se… Les chênes étaient noirs sur l’occ… Vénus brillait au bord d’un golfe… Et les troupeaux obscurs rentraien… Heure où s’enivre l’âme inquiète d…
Il est dans l’île lointaine Où dort la péri, Sur le bord d’une fontaine, Un rosier fleuri Qui s’orne toute l’année
L’esprit des sages te contemple, Mystérieuse Humilité, Porte étroite et basse du temple Auguste de la vérité ! Vertu que Dieu place à la tête
L’Arrhée parle. Ces croupes que fouaille Un vent forcené, Ce sont les Mené De la Cornouaille.
Tes yeux bleus comme deux bluets Me suivaient dans l’herbe fanée Et près du lac aux joncs fluets Où la brise désordonnée Venait danser des menuets.
Jule ! Heureux compagnon, dont le… Ne respirait que joie et que folle… Sais-tu que maintenant ta prose, ô… Exhale un son nouveau qui m’étonne… —Tu vois devant tes pas s’accourci…
Une source descend de la roche bru… Les filles de Plomar viennent lav… Aux coups vifs des battoirs se mêl… Que fait le flot, et c’est une for… Comme devant l’autel sur la dalle…
Madame, on m’a dit l’autre jour Que j’imitais... qui donc ? devine… Que j’imitais Musset : le tour N’en est pas nouveau, j’imagine. Musset a répondu pour nous :
Sous les branches de saule en la v… Un peuple impur se tait, glacé dan… Tandis qu’on voit sur l’eau de grê… Fuir vers les nymphéas que voile u… Mais, planant sur ce monde où la v…