Dans chaque promenade —en forêt ou en ville Dans chaque sortie —avant ou après le resto Dans chaque escapade
Oui, je suis proprement à ton nom… Le temple consacré, tel qu’en Tau… Fut celui où le sang apaisait ton… Mon estomac pourpré est un pareil… On t’assommait l’humain, mon sacri…
La côte se découpe en golfes où l’… Sonne, comme une trompe, aux murs… Jéricho, Un Jéricho de brume et flexible comme…
Vallée-aux-Loups, frais ermitage Qu’élut un jour Chateaubriand, Son grand cœur est resté l’otage De ton décor simple et riant. Sous les tulles des soirs d’octobr…
Il a vécu tantôt gai comme un sans… Tour à tour amoureux insoucieux et… Tantôt sombre et rêveur comme un t… Un jour il entendit qu’à sa porte… C’était la Mort ! Alors il la pri…
La forêt songe, bleue et pâle, Dans un féerique demi-jour. Tout s’y voit spectral, d’aspect s… Par cette nuit d’ambre et d’opale. Là, c’est un cerf blessé qui râle.…
Quoy mon ame, dors tu engourdie en… La trompette a sonné, serre bagage… Le chemin deserté que Jesuchrist… Quand tout mouillé de sang racheta… C’est un chemin facheux borné de p…
TOUS MES ESPOIRS BRISES Tous mes espoirs brisés contre les récifs d’un rivage tout aussi torturé que moi par le… Tous mes espoirs se sont dispersés
La nuit tranquille avait des chuch… Sortant des tamarins, des myrtes e… Souffles d’oiseaux dormant parmi l… Ou bruit doux des bourgeons tout à… Cela se mariait au rythme sur la g…
Les poules philosophent sous l’auv… le renard fuit vers son gîte, l’eau clapote au bassin et nous ac… bonjour ! Une chapelle dans la plaine lance…
Cent fois le jour je rebaise la ma… Folâtrement qui dedans l’eau gliss… Toucha de près ta cuisse blanchiss… Ton pied mignard, ta grève et ton… Cent et cent fois je prie Dieu, m…
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
La querelle irritée, amère, à l’œi… Vipère dont la haine empoisonne la… Siffle et trouble le toit d’une pa… Les mots heurtent les mots. L’enf… La femme et le mari laissent l’enf…
(Sur la conquête de la Franche-Co… Quelle rapidité, de conquête en co… En dépit des hivers guident tes ét… Et quel dieu dans tes yeux tient c… Qui fait tomber les murs d’un seul…
Contrerime XLVIII. Saigon : entre un ciel d’escarbouc… Et les flots incertains, Du bruit, des gens de fièvre teint… Sur le sanglant carboucle.
Sans doute est-il absurde de salue… océan restée debout à la verticale parmi… et dont le cœur à chaque battement… un délire vrai de lianes.
C’en est fait, j’ai brisé mes chaî… Amis, je reviens dans vos bras. Les belles ne vous valent pas ; Leurs faveurs coûtent trop de pein… Jouet de leur volage humeur,
C’est l Épilogue de Mai . Le poète Alain va peut-être chang… De décor, de contrée et du Comté… C’est le noble faucon sur la vallé… Le rapace .. haut perché sur le cl…
C’est bien ; puisqu’au sénat, puis… Tu poses, calme, altier, fier, ta… Puisque tu tends la main à l’argen… Puisque ta conscience est cotée au… Puisque tu prends ton rang dans la…
HÉRITAGE Je pars et je vous laisse ces sile… Silences des flammes et des rigueu… Qui précédent rêves et nostalgies… vaines alternatives
Tu l’as connu, ma chère Éléonore Ce doux plaisir, ce péché si charm… Que tu craignais, même en le désir… En le goûtant, tu le craignais enc… Eh bien ! dis-moi : qu’a-t-il donc…
Ne me plains pas, me dit l’arbre, Autrefois, autour de moi, C’est vrai, tout était de marbre, Le palais comme le roi. Je voyais la splendeur fière
Allez, mes vers, de branche en bra… Vers la dame des Trawiéro, Qu’on reconnaît à sa main blanche Comme la moelle du sureau. Elle est assise à sa croisée,
Je me souviens de toi enveloppée d… les sourcils froncés le regard sombre et des grandes ailes noires et bri… que moi seul pouvais voir
Fuyons ces tristes lieux, ô maître… Nous perdons en espoir la moitié d… Et la crainte importune y trouble… Non loin de ce rivage est une île… Interdite aux vaisseaux, et d’écue…
Dans un sommeil sans rêve On fuit la peur Ouvrant ses bras et ses yeux vers… Dans la douleur Qui nous propulse en chair et en o…
Là, du haut de ma tour, moi je vou… Par devers le marais, au plus loin… Lors, quand viendra ce jour, je vo… En mon humble palais, vous y serez… Au feu de nos amours, s’embrasera…
Nous mourons notre mort dans des f… dans le pays où croître drosera irrespirable pâturant aux embouchures des clart… ivre
C 'est un article d Howaryou . J adore me mettre à genoux devant… Le copain est nu .. assis sur le c… J adore sentir sa bite coquine san… Qui grossi dans ma bouche .
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Toi qui fais rêver, ô brune Si pâle, de clair de lune ; Des heures blanches et lentes Où les colombes lamentent ; Le jour efface la lune,
Je te tiendrai la porte. Pas parce que c’est attendu, Mais parce que tu mérites un momen… Je te laisserai passer devant, Inutile de courir,