Ce me sera plaisir, Genèvre, de t… Étant absent de toi, mon amoureux… J’ai certes éprouvé par mainte exp… Que l’amour se renforce et s’augme… Ou soit en rêvassant le plaisant s…
Oui, mais ainsi qu’on voit en la g… Les débats des plus grands, du fai… De leur douteux combat laisser tou… Au corps mort du pays, aux cendres… Je suis le champ sanglant où la fu…
Je ne veux pas survivre Ce n’est pas vrai Je veux simplement vivre Sans limites, sans arrêt Ressentir chaque instant
Nous ne faisons la cour aux filles… Comme vous qui vivez libres de pas… Si vous ne savez donc notre occupa… Ces dix vers en suivant vous la fe… Suivre son cardinal au Pape, au C…
« Ô vents, disaient les flots, qua… Dormir à notre gré d’un sommeil la… Trêve à la fin, trêve d’orages ! Laissez-nous refléter dans notre c… Les matins rayonnants, les nuits b…
Magny, je ne puis voir un prodigue… Qui trouve tout bien fait, qui de… Qui mes fautes approuve et me flat… Comme si j’étais prince ou quelque… Mais je me fâche aussi d’un fâcheu…
Amour qui n’est qu’amour, qui vit… De soi-même par soi par soi-même a… Qui naquit éternel vif à l’éternit… Qui surpasse en aimant l’âme et la… Que cet amour est près de la divin…
Se fâcher tout le jour d’une fâche… Voir un brave taureau se faire un… Étonné de se voir tant d’hommes al… Et cinquante piquiers affronter so… Le voir en s’élançant venir la têt…
Vous qui pleurez, venez à ce Dieu… Vous qui souffrez, venez à lui, ca… Vous qui tremblez, venez à lui, ca… Vous qui passez, venez à lui, car…
Quiconque a peint Amour, il fut i… Non le faisant enfant chargé de tr… Non luy chargeant les mains de fla… Mais bien d’un double crespe envel… Amour hait la clarté, le jour m’es…
Nous sommes les Ingénues Aux bandeaux plats, à l’œil bleu, Qui vivons, presque inconnues, Dans les romans qu’on lit peu. Nous allons entrelacées,
Tout est si noir. Submergée par cette maladie mortelle appelée « tourments », la vie n’a que pour but d’être souffrance. Comparable à une nuit sombre d’hiver qui se prolonge même lorsqu...
Furieuse, les yeux caves et les se… Sappho, que la langueur de son dés… Comme une louve court le long des… Elle songe à Phaon, oublieuse du… Et, voyant à ce point ses larmes d…
C’est un grand vieux au dos voûté –Figure osseuse et gros nez croche… Qui cherche, d’un air embêté, Quelque chose au fond de ses poche… Son œil s’illumine ; il s’assoit.
Se glisser dans ce néant fécond, Chevalier méritant et servant, Où le silence est le compagnon, Habile à endormir des tourments, Qui impatientent la chair de leur…
Laisse-moi sommeiller, Amour ! Ne te suffit-il que de jour Les yeux trop cruels de ma dame Me tourmentent le corps et l’âme, Sans la nuit me vouloir ainsi
Seul bijou de ma pauvreté. Ton mince argent, ta perle fausse (En tout quatre francs), ont tenté Quelqu’un dont l’esprit ne se haus… Parmi ces paysans cafards
C est le chapitre 19 . Des mots sur le journal Friday . Nous partirons loin .. vers le bro… Nous quitterons la place du marché… Tu vois .. ce n’est pas la peine…
Oh ! n’insultez jamais une femme q… Qui sait sous quel fardeau la pauv… Qui sait combien de jours sa faim… Quand le vent du malheur ébranlait… Qui de nous n’a pas vu de ces femm…
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
C est le chapitre de Corporamus… C est un article sur les hommes mu… Le plaisir de branler le manche d… Le désir de la bite en érection . La sodomie .. la pénétration anal…
Certes, une telle mort, ignorée ou… N’importe pas au siècle, et rien n… On n’en parle pas même et l’on pas… Mais lorsque, grandissant sous le… L’aveugle suicide étend son aile s…
1621. Muses, quand finira cette longue r… De contenter Gaston et a écrire d… Le soin que vous avez de la gloire… Peut-il mieux s’employer qu’à si b…
Quant vint a la prochaine feste Qu’Amours tenoit son parlement, Je lui presentay ma requeste Laquelle leut tresdoulcement, Et puis me dist : « Je suy dolent…
Ôtez votre beauté, ôtez votre jeun… Ôtez ces rares dons que vous tenez… Ôtez ce bel esprit, ôtez-moi ces b… Cet aller, ce parler digne d’une… Je ne vous serai plus d’une import…
Je t’écris un poème qui va grandir, s’allonger d’un pied
Combien connaissez-vous d’hommes v… Sur le globe terrestre ?—A part m… Aux élus qui du ciel ont tout reçu… Je n’en trouve qu’un seul... Il v… Le fils d’un paysan, paysan comme…
Cent ans j’avais dormi. Vint le p… Il était gai, naïf, infaillible, é… Mais il m’a réveillé de ce sommeil… Je ne peux pas dire comment.
Quand viendra le soir du monde que… de grandes filles immobiles un nœu… et le doigt sur la bouche quand la lumière dans la vitre cou… frire ses œufs dans une goutte de…
C est le chapitre du monday . C est les mots passants sur le cla… C est le conflit armé dans le pays… Sous un orage de feu .. de boue e… Le tsar ne donneras jamais les ter…
DIX fois qu’on attaque là-dedans,… Il faut y aller une fois de plus ?… Une cigarette d’abord. Un coup de… Y en a trop sur leurs jambes encor… À la tienne, vieux frère ! Qu’est-…
L’aimable et tendre Philomèle, Voyant commencer les beaux jours, Racontait à l’écho fidèle Et ses malheurs et ses amours. Le plus beau paon du voisinage,
Baisse la lampe. Il faut, les soi… Que nul geste, perçu distinctement… Le cours harmonieux du songe intér… Viens là tout près de moi, blottis… Le vent charge au galop la neige s…
Sonnet CXVI. Fuyons, Dilliers, fuyons cette cr… Fuyons ce bord avare et ce peuple… Que des dieux irrités la vengeress… Ne nous accable encor sous un même…
L’Homme a été créé par l’homme Mais qu’y avait-il avant l’Homme… Qu’y avait-il avant l’oeuf, le pou… Ce dont je suis sûr, c’est que l’… Ces frontières sont comme une guér…
(M. Puget qui fut ensuite Évêque… 1614. (Le mari parle.) Celle qu’avait Hymen à mon cœur a… Et qui fut ici-bas ce que j’aimais…
(la nécessité de la spéciation n’étant acceptée que dans la mesur… où elle légitime les plus audacieu… et que dure chaque meurtrissure pa… mais ne pas dépasser les mémoires…
le bilan de la journée est pauvre… Je me vois tous les jours devenue… Et faisant quelque chose qui m’éca… Parfois juste je rêve que je suis… Ou que je suis un arbre qui pousse…
De la Renommée du Roi Henri le G… Ballet de la Reine, dansé au mois… Pleine de langues et de voix, Ô roi, le miracle des rois, Je viens de voir toute la terre,
Écoute ! si je meurs, je veux mour… Je veux mourir couché dans ma séré… Calme et fier, le regard brillant… Un travailleur qui cherche un peu… Je parlerai tout haut, proclamant…
Fable III, Livre III. Tu fais un fort mauvais métier, Quoiqu’il soit des plus à la mode, Disait à cet insecte inutile, inco… Plat surtout, qui, parfois, nous o…
ELLE Là-bas, elle va...à la dérive déversant de partout ses charmes et le mystère que seulement elle p… déchiffrer avec sa sa danse de gaz…
Toujours le malheureux t’appelle, Ô Nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et porte sur ton aile L’oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ;
Je sais que les mots ne servent pa… Alors je t’envoie une pensée Une pensée pleine de repas Qu’on a partagés Une pensée remplie du son
Que ces vallons déserts, que ces v… Où j’allais promener mes tristes r… Que ces rivages frais, que ces boi… Que tout prenne une voix et retrou… Et porte jusqu’au sein de Ta Tout…
Chantez ; l’ardent refrain flamboi… Jurez même, noble ou vilain ! Le chant est un verre de joie Dont le juron est le trop-plein. L’homme est heureux sous la tonnel…
Sois medecin, Phoebus, de la Mais… Qui tient mon Prince en servage s… Vole à son lict, et luy taste le p… Il faut qu’un Dieu guarisse une D… Mets en effect ton mestier, et ne…
Étoiles transhumantes ; et le berg… Voûté sur le bonheur terrestre ; e… Comme ce cri d’insecte, irrégulier… Qu’un dieu pauvre façonne. Le silence
Nous ferons, ma Diane, un jardin… J’en serai laboureur, vous dame et… Vous donnerez le champ, je fournir… Afin que son honneur soit commun à… Les fleurs dont ce parterre éjouir…
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
Ô fontaine Bellerie, Belle fontaine chérie De nos Nymphes, quand ton eau Les cache au creux de ta source Fuyantes le Satyreau,
L’oiseau observe tout son entourage. L’œil n’est jamais fixe sauf si l’attention naît dans la beauté.
Jeunes filles qui brodez En suivant des songeries, Seules sur vos galeries, Ou qui dehors regardez, Comme des oiseaux en cage,
Tableau II. Quand on aime bien, l’on oublie Ces frivoles ménagements Que la raison ou la folie Oppose au bonheur des amants.
Il allait en silence au milieu des… Il feignait d’être sourd à l’unani… Il souriait avec des lèvres défris… Un bandeau noir ceignait les boucl… Et je lui demandai : « Jeune homm…
Le poète Alain est de retour ..… Mais, toujours debout et vivant . Pour l amour des hommes nus . Et tenir en respect .. la mort . Le plaisir de branler le dard puis…
C est les Dates Historiques . 1953 .. naissance dans le Poitou… 1963 .. déménager en Touraine . 1973 .. Veigné Carrelage . 1983 .. mariage à Nice .
Vous aviez des cheveux légers de s… Nos yeux en même temps s’éveillaie… Comme le fin parfum dans les bouto… L’amour vague emplissait nos cœurs… Vous seriez à présent, Claire, un…
Pour M. le duc de Bellegarde, à u… s’était imaginé qu’il était amoure… 1606. Philis, qui me voit le teint blême… Les sens ravis hors de moi-même,
Pour être en vain tes beaux soleil… Non pour ravir leur divine étincel… Contre le roc de ta rigueur cruell… Amour m’attache à mille clous d’ai… En lieu d’un aigle, un soin cruell…