Le percepteur trouve qu’on tarde ; Il veut être payé ce soir. —J’ai quelques sous, mais je les g… Pour vous acheter du pain noir. Si je n’en porte à votre mère,

Oh ! De quelle splendeur brillaie… Quand un autre soleil échauffait l… Quand nos jeunes lauriers, vers le… Agitaient noblement leur tige refl… Ces grands jours, déjà loin, ne vo…

VERT DE MES RACINES Vert... Arbre vert jetant son ombre entre mes mains, verdure de pierres et de montagnes

Vous cachez vos cheveux, la toison… Vous cachez vos sourcils, ces mous… Et vous cachez vos yeux, ces globe… Miroirs plein d’ombre où reste une… L’oreille ourlée ainsi qu’un gouff…

À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,

Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,

Dans ce réduit, où l’Amour en sil… Aime à rêver en cessant de jouir, Heureux qui vient avec une espéran… Et s’en retourne avec un souvenir.

HÉRITAGE Je pars et je vous laisse ces sile… Silences des flammes et des rigueu… Qui précédent rêves et nostalgies… vaines alternatives

Je fu en fleur ou temps passé d’en… Et puis après devins fruit en jeun… Lors m’abaty de l’arbre de plaisan… Vert et non meur (1), Folie ma ma… Et pour cela Raison, qui tout red…

La fenêtre me raconte une histoire Une histoire fluide

Sur le corps musclé .. ma main s… Elle vient de caressée le dard pui… Elle part à l aventure sur les tes… C est le beau mec .. le vrai Apol… Tu vois l ami .. avec son gland,…

De mes rêves brillants douce et fr… Ces chants, que produisit un trop… C’est au poète de la France, C’est à toi, Béranger, que j’ose… J’aurais pu, leur donnant un essor…

À Euphrosine. Vous m’amusez par des caresses, Vous promettez incessamment, Et le Zéphir, en se jouant, Emporte vos vaines promesses.

Fais rafraîchir mon vin, de sorte Qu’il passe en froideur un glaçon… Fais venir Jeanne, qu’elle apport… Son Luth pour dire une chanson ; Nous ballerons tous trois au son ;

Derrière le miroir, ce démon aux a… Dans ce discret asile où l’éléganc… Ces roses, ces bijoux, tout ici vo… A ne pas trop vous plaire aux orne… Apprenez le danger des colliers, d…

Fable VIII, Livre II. xx… Les Guèbres l’adoraient. Quelle d… Disaient-ils à genoux, au sein de… Oserait avec toi disputer de beaut…

C’est la rubrique du lundi Les mots avaient dansés avec le cy… La plume s était balancée sur le c… Je suis devenu le passeur des hist… Je suis parti loin de ma Citadell…

Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.

La dame pavot nouvelle épousée a demandé à son mari Quelle est l’année ? Quel est le mois ? Quelle est la semaine ?

C 'est un article d Howaryou . J adore me mettre à genoux devant… Le copain est nu .. assis sur le c… J adore sentir sa bite coquine san… Qui grossi dans ma bouche .

Là, du haut de ma tour, moi je vou… Par devers le marais, au plus loin… Lors, quand viendra ce jour, je vo… En mon humble palais, vous y serez… Au feu de nos amours, s’embrasera…

Monsieur le Président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de me rendr’ compte

Fable XVII, Livre V. Polichinelle, à toi nous voilà rev… J’y reviens volontiers, c’est un a… Garçon d’esprit d’ailleurs, dans s… Fertile en mots profonds, des bada…

des promesses qui éclatent en peti… ivres de leur propre déhiscence la… reconquise) une donne de trésors m… et puis ces détonations de bambous… soleils

Reliées par la mer On se rencontre très petites Puis sur les vagues on erre Cherchant notre pépite Tu es attirée par les phares

C’est les Essais du poète . Bonjour .. je reprends le fil de… Je suis dans un univers malmené . Pulvérisé par des affaires imprévu… Une avalanche de galères .. des s…