#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Le verre brille sur le zinc de ce… Maints sanglots montent à la gorge… S’arrêtent et finissent en un écla… Le verre brille sur le zinc de ce… Parce qu’une goutte encore tremble…
Quand on confie son corps aux char… Il semble voir paraître à travers… Le visage lointain de ceux que l’o… Le temps qui s’abolit et renaît de… Ces fleurs qui s’effeuillaient ces…
Le nuage dit à l’indien : « Tire sur moi tes flèches, Je ne sentirai rien. » C’est vrai, rien ne t’ébrèche, Répond le sauvage,
Ayant dit ayant fait Ce qui me plaît Je vais à droite je vais à gauche Et j’aime la fleur de souci Je vais à droite je vais à gauche
C’est la pure vérité Comme un manchon Ma belle dame mettez vos deux main… dans le bec de gaz nous y verrons plus clair
Jadis un cœur battait dans cette p… Il ne battait que pour elle Le cœur bat toujours mais on ne sa… Celui-là a clos ses lèvres à jamai… Il ne dit plus
La porte se ferme sur l’idole de p… Rien désormais ne peut signaler à… cette maison isolée Seule l’eau peut-être se doutera d… Les clairs matins d’automne la cor…
L’araignée à moustaches n’est pas Napoléon III Qui s’ennuie quand il a froid.
Agé de cent mille ans, j’aurais en… De t’attendre, ô demain pressenti… Le temps, vieillard souffrant de m… Peut gémir : Le matin est neuf, neuf est le soi…
II était dans la forêt une fleur… Tous les arbres l’aimaient Les chênes vers minuit devenaient… Les frênes et les peupliers se cou… Les fougères jaunissaient dans sa…
Pour mourir sans regret il faut êt… Pour mourir sans regret des désirs… Pour mourir sans chagrin pour mour… Faut-il détruire aussi les mains l… Celles-là qui sont nées choisies p…
Tu, Rrose Sélavy, hors de ces bornes erres Dans un printemps en proie aux sue… Aux parfums de la rose éclose aux…
Arrête-toi ! Je suis ici, mais tant de nuit Nous sépare qu’en vain tu fatigues… Tu te tais car l’espace, où se dis… Nous-même nous dissout et nous sao…
L’aveugle tendit sa main à la rein… La reine lui tendit sa bouche Miracles vous vous flétrissez sur… On bâillonne mes amies à quoi bon parler le langage des y…
Un jour après un jour, Une vague après une vague. Où vas-tu ? Où allez-vous ? Terre meurtrie par tant d’hommes e…