"Toute la lyre (1888 et 1893)"
#ÉcrivainsFrançais
Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…
À mademoiselle Louise B. De nos jours,—plaignez-nous, vous,… L’intérieur de l’homme offre un so… Un serpent est visible en la sourc… Et l’incrédulité rampe au fond de…
Hier, la nuit d’été, qui nous prêt… Etait digne de toi, tant elle avai… Tant son calme était frais ! tant… Tant elle éteignait bien ses rumeu… Tant elle répandait d’amoureuses r…
Lion ! J’étais pensif, ô bête pri… Devant la majesté de ta grave crin… Du plafond de ta cage elle faisait… Nous songions tous les deux, et tu… Ton regard était beau, lion. Nous…
Enfants, beaux fronts naïfs penché… Bouches aux dents d’émail disant t… Vous qui, m’interrogeant sur plus… Voulez de chaque chose, obscure po… Connaître le vrai sens et le mot d…
Où sont-ils ? Sur les quais, dans… Dans l’égout, dont Maupas fait le… Dans la fosse commune affreusement… Sur le trottoir, au coin des porte… Pêle-mêle entassés, partout ; dans…
«–Sa morale a du bon. –Il est mor… –Il changeait en vin l’eau. –Ça s’… –Il était de Judée. Il avait douz… –Gens grossiers. –Gens de rien. –… –Il leur lavait les pieds. –C’est…
Elle prend un miroir, s’y regarde,… Son flambeau, et tombe à genoux au… Oh ! je suis monstrueuse et les au… Cette bosse ! ô mon Dieu !... Elle cache son visage dans ses mai…
En ces temps-là c’était une ville… Au pouvoir des Anglais, maîtres d… Qui, du canon battue et de terreur… Disparaissait dans les éclairs. C’était une cité qu’ébranlait le t…
II. Le jour s’enfuit des cieux ; sous… De moments en moments se hasarde u… La nuit, pas à pas, monte au trône… Un coin du ciel est brun, l’autre…
Je disais :—Ces soldats ont la tê… Il va leur ouvrir des chemins. Le peuple aime la poudre, et quand… La France chante et bat des mains… La guerre est une pourpre où le me…
La foule des vivants rit et suit s… Tantôt pour son plaisir, tantôt po… Mais par les morts muets, par les… Moi, rêveur, je me sens regardé fi… Ils savent que je suis l’homme des…
L’enfant avril est le frère De l’enfant amour ; tous deux Travaillent en sens contraire À notre coeur hasardeux. L’enfant amour nous rend traîtres,
Après avoir donné son aumône au pl… Pensif, il s’arrêta pour les voir.… Avait maigri leur joue, avait flét… Ils s’étaient tous les quatre à te… Puis, s’étant partagé, comme ferai…
Le bal champêtre est sous la tente… On prend en vain des airs moqueurs… Toute une musique flottante Passe des oreilles aux coeurs. On entre, on fait cette débauche