"Toute la lyre (1888 et 1893)"
#ÉcrivainsFrançais
Souvent, quand mon esprit riche en… Flotte et roule endormi sur l’océa… Dieu, foyer du vrai jour qui ne lu… Mystérieux soleil dont l’âme est e… Le frappe d’un rayon, et, comme un…
Il sied de ressembler aux dieux.… Dévore ses enfants ; ton Dieu, ma… Augure, ton Dieu ment ; uléma, to… La terre sous le sabre impur de M… Ton Dieu, Rome, est l’agneau, mai…
Quand la terre engloutit les cités… Que le vent sème au loin un poison… Quand l’ouragan mugit, quand des m… C’est le réveil du Dieu vengeur. Et si, lassant enfin les clémences…
Si vous continuez d’être ainsi tou… Dans notre air étouffant, Si je vous vois entrer dans mon om… Moi vieillard, vous enfant ; Si je vois de nos jours se confond…
Réveillez-vous, assez de honte ! Bravez boulets et biscayens. Il est temps qu’enfin le flot mont… Assez de honte, citoyens ! Troussez les manches de la blouse.
Soit lointaine, soit voisine, Espagnole ou sarrazine, Il n’est pas une cité Qui dispute sans folie A Grenade la jolie
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vô… Ô mère au coeur profond, mère, vou… Laisser la porte ouverte afin qu’e… Cette pierre là-bas dans l’herbe e… La mienne disparut dans les flots…
Ciel ! après tes splendeurs, qui r… Liberté sainte ; après toutes ces… Tourbillon inouï ; Après ce Marengo qui brille sur l… Et qui ferait lâcher le premier B…
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…
Ô noirs événements, vous fuyez dan… L’empereur mort tomba sur l’empire… Napoléon alla s’endormir sous le s… Et les peuples alors, de l’un à l’… Oubliant le tyran, s’éprirent du h…
L’hirondelle au printemps cherche… Débris où n’est plus l’homme, où l… La fauvette en avril cherche, ô ma… La forêt sombre et fraîche et l’ép… La mousse, et, dans les noeuds des…
L’enfant avril est le frère De l’enfant amour ; tous deux Travaillent en sens contraire À notre coeur hasardeux. L’enfant amour nous rend traîtres,
Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes
Enfants ! fils des héros disparus… Qui firent mon pays plus grand que… Et qui s’en sont allés, dans l’abî… Vous que nous voyons rire et jouer… Sur vos fronts innocents la sombre…
Ne me plains pas, me dit l’arbre, Autrefois, autour de moi, C’est vrai, tout était de marbre, Le palais comme le roi. Je voyais la splendeur fière