"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Rien encore n’a germé de vos ramea… Sur notre jeune terre où, depuis q… Tant d’âmes se sont échouées, Doctrines aux fruits d’or, espoir… Que la hâtive main des révolutions
Ils sont assis dans l’ombre et dis… Ils peuplent d’innocents les geôle… Et les pontons, nefs abhorrées, Qui flottent au soleil sombres com… Tandis que le reflet des mers sur…
Tu savais bien qu’un jour il faudr… Mais tu n’imaginais ni Séjan, ni… Tu te croyais de ceux que la haine… Frappe furtivement d’un coup de fo… Tu t’étais figuré qu’on te renvers…
Ayant vu le massacre immense, le c… Le peuple sur sa croix, Paris sur… La pitié formidable était dans tes… Tu faisais ce que font les grandes… Et lasse de lutter, de rêver, de s…
Maintenant que Paris, ses pavés e… Et sa brume et ses toits sont bien… Maintenant que je suis sous les br… Et que je puis songer à la beauté… Maintenant que du deuil qui m’a fa…
Mes fils, soyez contents ; l’honne… Et vous, mes deux amis, la gloire,… Couronne votre nom par l’affront d… Offrez aux juges vils, groupe abje… Toi, ta douceur intrépide,
Espère, enfant ! demain ! et puis… Et puis toujours demain ! croyons… Espère ! et chaque fois que se lèv… Soyons là pour prier comme Dieu p… Nos fautes, mon pauvre ange, ont c…
Un jour, maigre et sentant un roya… Un singe d’une peau de tigre se vê… Le tigre avait été méchant ; lui,… Il avait endossé le droit d’être f… Il se mit à grincer des dents, cri…
Ô toi d’où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d’où me vient mon bonheur ! Quand je traverse cette lieue
Ne vous contentez pas, madame, d’ê… Notre cœur vieillit mal s’il ne se… Il faut songer, penser, lire, avoi… Être, pendant DIX ans, une rose q… Cela passe...—La vie est une tris…
—Qu’a donc l’ombre d’Allah ? disa… Son aumône est bien pauvre et son… Sombre, immobile, avare, il rit d’… A-t-il donc ébréché le sabre de so… Ou bien de ses soldats autour de s…
Ah ! l’équinoxe cherche noise Au solstice, et ce juin charmant Nous offre une bise sournoise ; L’été de Neustrie est normand ! Notre été chicane et querelle ;
On est Tibère, on est Judas, on e… Et l’on a Lambessa, n’ayant plus… On forge pour le peuple une chaîne… On exile, on proscrit le penseur l… Tout succombe. On comprime élans,…
Quand Auguste mourut, Rome, donna… Sur le mont Palatin lui fit bâtir… Et Livie y dressa des figures d’a… Elle mit au sommet du fronton souv… Neptune et Jupiter, et sous le pé…
Il lui disait : – Vos chants sont… Ange inquiet, quels pleurs mouille… Pourquoi, pauvre âme tendre, incli… Comme un jonc que le vent a ployé… Pencher votre beau front assombri…