"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Mon frère, la tempête a donc été b… Le vent impétueux qui souffle et n… De récif en récif. A donc, quand vous partiez, d’une… Creusé le vaste abîme et boulevers…
Quand d’une aube d’amour mon âme s… Quand je sens ma pensée, ô chaste… Loin du souffle glacé d’un vulgair… Eclore feuille à feuille au plus p… Je prends ton livre saint qu’un fe…
Ô soldats de l’an deux ! ô guerres… Contre les rois tirant ensemble le… Prussiens, autrichiens. Contre toutes les Tyrs et toutes… Contre le czar du nord, contre ce…
Je ne te cache pas que j’aime auss… Cela t’amuse et moi cela m’instrui… Que ce n’est pas pour rien qu’en c… Dieu met le clair-obscur des grand… Je suis le curieux qui, né pour cr…
Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…
Si je pouvais voir, ô patrie, Tes amandiers et tes lilas, Et fouler ton herbe fleurie, Hélas ! Si je pouvais,– mais, ô mon père,
Ô sultan Noureddin, calife aimé de… Tu gouvernes, seigneur, l’empire d… De la mer rouge au fleuve jaune. Les rois des nations, vers ta face… Pavent, silencieux, de leurs front…
Le poème éploré se lamente ; le dr… Souffre, et par vingt acteurs répa… Et la foule accoudée un moment s’a… Puis reprend : « Bah ! l’auteur e… Qui, sur de faux héros lançant de…
Et toi, céleste ami qui gardes son… Qui le jour et la nuit lui fais un… De tes ailes d’azur ! Invisible trépied où s’allume sa f… Esprit de sa prière, ange de sa je…
Charle ! Charle ! ô mon fils ! qu… Ah ! tout fuit ! rien ne dure ! Tu t’es évanoui dans la grande cla… Qui pour nous est obscure. Charles, mon couchant voit périr t…
Tu peux, comme il te plaît, me fai… Comme le soleil fait serein ou plu… L’azur dont il est l’âme et que sa… Tu peux m’emplir de brume ou m’ino… Du haut de ta splendeur, si pure q…
Pour la France et la république, En Navarre nous nous battions. Là parfois la balle est oblique ; Tous les rocs sont des bastions. Notre chef, une barbe grise,
Puisqu’ils n’ont pas compris, dans… Qu’après tant de splendeur, de pui… Il était grand et beau que la Fra… L’aumône d’une fosse à ton noble c… Puisqu’ils n’ont pas senti que cel…
Il lui disait : – Vos chants sont… Ange inquiet, quels pleurs mouille… Pourquoi, pauvre âme tendre, incli… Comme un jonc que le vent a ployé… Pencher votre beau front assombri…
Aux champs, compagnons et compagne… Fils, j’élève à la dignité De géorgiques les campagnes Quelconques où flambe l’été ! Flamber, c’est là toute l’histoire