"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
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Merci, poète !– au seuil de mes la… Comme un hôte divin, tu viens et t… Et l’auréole d’or de tes vers radi… Brille autour de mon nom comme un… Chante ! Milton chantait ; chante…
Est-ce ma faute à moi si vous n’êt… Vous aimez les hiboux, les fouines… Le mistral, le simoun, l’écueil, l… Vous êtes Myrmidon que son néant… Hélas ! l’envie en vous creuse son…
Qui peut savoir combien de jalouse… De haines, par l’envie en tous lie… De sourds ressentiments, d’inimiti… D’orages à courber les plus sublim… Combien de passions, de fureurs, d…
À Juana la grenadine, Qui toujours chante et badine, Sultan Achmet dit un jour : —Je donnerais sans retour Mon royaume pour Médine,
Oui, je suis le rêveur ; je suis l… Des petites fleurs d’or du mur qui… Et l’interlocuteur des arbres et d… Tout cela me connaît, voyez-vous.… En mai, quand de parfums les branc…
III. Il croula. Dieu changea la chaîne… Il est, au fond des mers que la br… Un roc hideux, débris des antiques… Le Destin prit des clous, un mart…
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froi… Août contre septembre lutte ;
L’enfant avril est le frère De l’enfant amour ; tous deux Travaillent en sens contraire À notre coeur hasardeux. L’enfant amour nous rend traîtres,
Partout pleurs, sanglots, cris fun… Pourquoi dors-tu dans les ténèbres… Je ne veux pas que tu sois mort. Pourquoi dors-tu dans les ténèbres… Ce n’est pas l’instant où l’on dor…
Il vivait, il jouait, riante créat… Que te sert d’avoir pris cet enfan… N’as-tu pas les oiseaux peints de… Les astres, les grands bois, le ci… Que te sert d’avoir pris cet enfan…
Ô femmes ! chastetés augustes ! fi… Pudeur, crainte sacrée entre toute… Farouche austérité du front pensif… Ô vous à qui je veux ne parler qu’… Dont la forme est si noble en notr…
Le bal champêtre est sous la tente… On prend en vain des airs moqueurs… Toute une musique flottante Passe des oreilles aux coeurs. On entre, on fait cette débauche
Oh ! Quand donc aurez-vous fini,… De jaser au milieu des branches et… Que nous nous expliquions et que j… Rouge-gorge, verdier, fauvette, to… Oiseaux, je vous entends, je vous…
« M.… Napoléon le Petit, et qui renferm… On raconte qu’un des jours de la s… Saint-Cloud. Lorsque Louis-Napol… du mépris sur les lèvres, puis s’a…