#ÉcrivainsFrançais
Il rêva qu’il ouvrait les yeux, su… Qui approchaient du port, silencie… Encore, feux éteints ; mais doublé… D’une ombre où foisonnait la futur… Puis il se réveilla.
Veilleuse de la nuit de janvier su… Comme nous avions dit que tout ne… J’entendais plus avant dans une om… Un pas de chaque soir qui descend… Ce que je tiens serré n’est peut-ê…
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
Dans ce rêve le fleuve encore : c’… Une eau serrée, violente, où des t… S’entrechoquent, dévient ; de tout… Des rivages stériles m’environnent… De grands oiseaux m’assaillent, av…
La salamandre surprise s’immobilis… Et feint la mort. Tel est le premier pas de la consc… Le mythe le plus pur. Un grand leu traversé, qui est esp…
Le pays du début d’octobre n’avait… Qui ne se déchirât dans l’herbe, e… En venaient à des cris d’absence e… Sur un haut flanc courbé qui se hâ… Ma parole du soir,
Tu vieillissais dans les plis De la grisaille divine. Qui est venu, d*une lampe. Empourprer ton horizon nu ? L’enfant sans hâte ni bruit
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Deux fois silencieuse l’après-midi Par vertu de l’été désert, et d’un… Qui déborde, on ne sait si de ce v… Ou de plus haut encore dans le cie… Nous avons donc dormi : je ne sais…
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Tu sauras qu’il te tient dans l’ât… Tu sauras qu’il te parle, et remua… Les cendres de ton corps avec le f… Tu sauras qu’il est seul et ne s’a… Lui qui a tant détruit ; qui ne sa…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Tu demandes le nom De cette maison basse délabrée. C’est Jean et Jeanne en un autre pays
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…
L’orante est seule dans la salle b… Sa robe a la couleur de l’attente… Et c’est le bleu le plus éteint qu… L’enfance est seule, et ceux qui v… Ils se penchent avec des lampes su…