#ÉcrivainsFrançais
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Que le faut-il, voix qui reprends,… la sève De l’olivier que glaça l’autre hiv… Le temps divin qu’il faut pour emp… Oui, rien qu’aimer ce temps désert…
Écoute, il ne faut plus ces mains… Comme éternellement l’écume et le… Et même plus ces yeux qui se tourn… Aimant mieux le sommeil encore par… Il ne faut plus tenter d’unir voix…
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Ce souvenir me hante, que le vent… D’un coup, là-bas, sur la maison f… C’est un grand bruit de toile par… On dirait que l’étoffe de la coule… Vient de se déchirer jusqu’au fond…
Mais nous aimons ces puits qui vei… Car nous nous demandons qui vient… Dans les herbes barrées de ronces,… Par ces sortes de dômes que font l… Au-dessus des buissons, là où comm…
Aube, fille des larmes, rétablis La chambre dans sa paix de chose g… Et le cœur dans son ordre. Tant de nuit Demandait à ce feu qu’il décline e…
Un dernier cerf se perdant Parmi les arbres, Le sable retentira Du pas d’obscurs arrivants. Dans la maison traversée
Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier
Celle qui ruine l’être, la beauté, Sera suppliciée, mise à la roue, Déshonorée, dite coupable, faite s… Et cri, et nuit, de toute joie dép… O déchirée sur toutes grilles d’av…
On dit qu’un dieu chercha Sur les eaux closes Comme un rapace veut Sa proie lointaine Et d’un cri répété,
Es-tu vraiment morte ou joues-tu Encore à simuler la pâleur et le s… O toi passionnément au sommeil qui… Comme on ne sait que mourir ? Es-tu vraiment morte ou joues-tu
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…