Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
(Fragment) Ni ce moine rêveur, ni ce vieux ch… N’ont deviné pourquoi Mariette es… Elle est frappée au cœur, la belle… Voilà son mal,—elle aime.—Il est…
Puisque votre moulin tourne avec t… Allez, braves humains, où le vent… Jouez, en bons bouffons, la comédi… Je vous ai trop connus pour être d… Ne croyez pourtant pas qu’en quitt…
Madame, il est heureux, celui dont… (Qu’elle fût de plaisir, de douleu… A pu servir de sœur à la vôtre un… Son âme dans votre âme un instant… Le rêve de son cœur un soir s’est…
Il ne faudrait pourtant, me disais… Qu’une permission de notre seigneu… Pour qu’il vînt à passer quelque f… Les bosquets sont déserts ; la cha… Les vents sont à l’amour l’horizon…
Avez-vous vu, dans Barcelone, Une Andalouse au sein bruni ? Pâle comme un beau soir d’automne… C’est ma maîtresse, ma lionne ! La marquesa d’Amaëgui !
Sonnet. Se voir le plus possible et s’aime… Sans ruse et sans détours, sans ho… Sans qu’un désir nous trompe, ou q… Vivre à deux et donner son coeur à…
Sonnet. Ainsi, mon cher ami, vous allez do… Adieu ; laissez les sots blâmer vo… Quel que soit le chemin, quel que… Le seul guide en ce monde est la m…
Vous connaissez que j’ai pour mie Une Andalouse à l’oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu’au matin. Voyez-la, quand son bras m’enlace,
(Écrit à l’âge de quatorze ans.) Après un si joyeux festin, Zélés sectateurs de Grégoire, Mes amis, si, le verre en main Nous voulons chanter, rire et boir…
Chanson. Mimi Pinson est une blonde, Une blonde que l’on connaît. Elle n’a qu’une robe au monde, Landerirette !
Quand le paysan sème, et qu’il cre… Il ne voit que son grain, ses bœuf… —La nature en silence accomplit le… Couché sur sa charrue, il attend s… Quand sa femme, en rentrant le soi…
Oui, si j’étais femme, aimable et… Je voudrais, Julie, Faire comme vous ; Sans peur ni pitié, sans choix ni… A toute la terre
Ô ciel ! je vous revois, madame, De tous les amours de mon âme Vous le plus tendre et le premier. Vous souvient-il de notre histoire… Moi, j’en ai gardé la mémoire :
Avec tout votre esprit, la belle i… Avec tous vos grands airs de rigue… Qui nous font tant de mal et qui v… Il n’en est pas moins vrai que vou… Il n’en est pas moins vrai que, sa…
Ami, tu l’as bien dit : en nous, t… Il existe souvent une certaine fle… Qui s’en va dans la vie et s’effeu… “ Il existe, en un mot, chez les t… Un poète mort jeune à qui l’homme…