Poésies posthumes (1888)
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Heureux le voyageur que sa ville c… Voit rentrer dans le port, aux pre… Qui salue à la fois le ciel et la… La vie et le bonheur, le soleil et… —Regardez, compagnons, un navire s…
Je méditais, courbé sur un volume… Les dogmes de Platon et les lois… Je voulus de la vie essayer le far… Aussi bien, j’étais las des loisir… Et j’entrai, sur les pas de la bel…
C’était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre
La muse Depuis que le soleil, dans l’horiz… A franchi le Cancer sur son axe e… Le bonheur m’a quittée, et j’atten… L’heure où m’appellera mon ami bie…
Imitation. Horace. Du temps où tu m’aimais, Lydie, De ses bras nul autre que moi N’entourait ta gorge arrondie ;
Sonnet. Je vous ai vue enfant, maintenant… Fraîche comme une rose et le cœur… Je vous ai vu bambin, boudeur et p… Vous aimiez lord Byron, les grand…
Elle a mis, depuis que je l’aime (Bien longtemps, peut-être toujour… Bien des robes, jamais la même ; Palmire a dû compter les jours. Mais, quand vous êtes revenue,
Quand je t’aimais, pour toi j’aura… Mais c’est toi, de t’aimer, toi qu… À tes pièges d’un jour on ne me pr… Tes ris sont maintenant et tes ple… Ainsi, lorsqu’à l’enfant la vieill…
Quand la lune blanche S’accroche à la branche Pour voir Si quelque feu rouge Dans l’horizon bouge
Sonnet. C’est mon avis qu’en route on s’ex… Au vent, à la poussière, et qu’on… S’éveiller chiffonnée avec un mauv… Et qu’à la longue, en poste, un tê…
(Fragment) Ni ce moine rêveur, ni ce vieux ch… N’ont deviné pourquoi Mariette es… Elle est frappée au cœur, la belle… Voilà son mal,—elle aime.—Il est…
Que me veux-tu, chère fleurette, Aimable et charmant souvenir ? Demi-morte et demi-coquette, Jusqu’à moi qui te fait venir ? Sous ce cachet enveloppée,
Beau chevalier qui partez pour la… Qu’allez-vous faire Si loin d’ici ? Voyez-vous pas que la nuit est pro… Et que le monde
Le poète. Du temps que j’étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s’asseoir
(Chanson.) Quand on perd, par triste occurren… Son espérance Et sa gaieté, Le remède au mélancolique,