Fables, Livre V (1812)
#ÉcrivainsFrançais
(En… Lisez et relisez, ma sœur, De Psyché l’admirable histoire : Vous y verrez que le bonheur N’est pas toujours avec la gloire.
Verts bosquets, paisible asile, Où tout sourit à mon cœur ; D’innocence et de candeur Séjour aimable et tranquille ; En vain je veux retracer
Fable II, Livre V. Je suis un peu badaud, je n’en dis… Tout m’amuse ; depuis ces batteurs… Depuis ces brillants automates, Dont Gardel fait mouvoir et les p…
Fable VII, Livre V. Hercule avait chassé sur le mont… Percés de traits inévitables, Frappés de coups épouvantables, Que de monstres défaits ! Un énor…
Fable VIII, Livre III. Au milieu des forêts, sans trop us… Mon fusil, rival de la foudre, Fait un bruit qui ne finit pas. En plaine, c’est tout autre chose…
Fable XVI, Livre III. Sans la pièce de bœuf il n’est poi… Combien, en fait de bœuf, n’a-t-on… En plus de cent façons je crois qu… L’un veut qu’en miroton le bœuf so…
Fable VI, Livre II. Le crocodile en pleurs, aux animau… De la pitié vantait les charmes : « Craignez ceux qui jamais ne se s… Fiez-vous à quiconque a répandu de…
De ce chaume heureux possesseur, De bon cœur, hélas ! que j’envie Tes travaux, ta philosophie, Ta solitude et ton bonheur ! Pour prix des soins que tu leur do…
Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
À Madame ***. La rose humide et vierge encore, Que l’aube embellit de ses pleurs, N’est pas plus fraîche que les fle… Que votre pinceau fait éclore.
xx… Le dieu des arts, le dieu des vers A souvent consolé ma peine ; Entre Voltaire et La Fontaine, Oui, j’oubliai plus d’un revers.
Fable II, Livre III. Médor est un vrai chien de race, Des mieux nés et des mieux appris… Il n’a pas d’égal, soit qu’il chas… Lièvre ou lapin, caille ou perdrix…
Fable V, Livre V. On ne supporte qu’à moitié Le poids des misères humaines, Quand le ciel accorde à nos peines Les tendres soins de l’amitié.
Déjà j’ai vu le verger Se parer de fleurs nouvelles ; Le Zéphyr, toujours léger, Déjà folâtre autour d’elles. L’hiver fuit ; tout va changer,
Fable IX, Livre I. Voilà nos champs bien préparés, Bien engraissés, bien labourés ; Ensemençons sans plus attendre. Mon fils, ne perds pas un moment :