Fables, Livre V (1812)
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Me demander si du plus froid des c… J’ai cru fléchir la longue indiffé… Au seul plaisir si donnant quelque… J’ai cru jouir du prix de ma const… Si, me berçant d’un penser si flat…
De ce chaume heureux possesseur, De bon cœur, hélas ! que j’envie Tes travaux, ta philosophie, Ta solitude et ton bonheur ! Pour prix des soins que tu leur do…
Fable VII, Livre II. Toi qui te dis mon camarade, Devrais-je ici te rencontrer, Bonnet ridicule et maussade ? Le jour, peux-tu bien te montrer,
Fable I, Livre IV. Je n’aime pas ces paladins femelle… Désavoués de Vénus et de Mars, Qui contre un heaume échangeaient… Portaient rondache, et brassards e…
Fable XVII, Livre II. À qui diable en veut cet Anglais ? Il sort du lit avant l’aurore, Laisse dormir sa femme, éveille se… Et court déjà les champs qu’il n’e…
Fable VII, Livre V. Hercule avait chassé sur le mont… Percés de traits inévitables, Frappés de coups épouvantables, Que de monstres défaits ! Un énor…
Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
Fable XII, Livre I. Un médisant accusait les échos. Un médisant !....... Je le ménage… Le ciel, disait-il dans sa rage, Puisse-t-il les punir de leurs mau…
Stances irrégulières. À M… Le bonheur ici-bas tient à bien pe… Vous ne l’ignorez pas ; vous savez… Que le sort au hasard porte souven…
Souvent cette trame grossière Qu’ourdit la main du tisserand Se transforme en tapis brillant Sous les jolis doigts de Glycère. Le chanvre obscur a disparu,
Fable V, Livre V. On ne supporte qu’à moitié Le poids des misères humaines, Quand le ciel accorde à nos peines Les tendres soins de l’amitié.
(En… Lisez et relisez, ma sœur, De Psyché l’admirable histoire : Vous y verrez que le bonheur N’est pas toujours avec la gloire.
Fable XVI, Livre IV. « Demande-t-on la bouche pleine ?… Disait ma femme à son marmot : « Fi ! qu’il est laid ! fi ! qu’il… Il n’aura plus rien pour sa peine.…
Je vois bien l’arbre aux pommes d’… Prospérer dans vos prés humides ; Mais cela n’en fait pas encor Un vrai jardin des Hespérides. La timide sécurité
Fable II, Livre II. Penses-y deux fois, je t’en prie ; À jeun, mal chaussé, mal vêtu, Pauvre diable ! comment peux-tu Sur un billet de loterie