Fables, Livre II (1812)
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Fable XVII, Livre IV. Une ourse avait mis bas ; ourses d… D’accourir pour voir le poupon. « Est-ce une fille ? Est-ce un ga… Est-il bien gros ? Est-il bien sa…
Fable XII, Livre IV. L’oiseau-roi veut-il reconnaître S’il a transmis sa force au fruit… Si l’aiglon sera digne un jour Du noble sang qui l’a fait naître…
Fable XVII, Livre III. Deux dindons s’engraissaient dans… Égaux en droits : l’un d’eux croya… Bien plus que son confrère. Hé po… Parce qu’il était blanc, et que l’…
À M. Plasschaert. Qui, e… À l’auteur de La Feuille... en Eu… Auteur aimable autant qu’utile, Votre livre m’est parvenu ;
Fable VII, Livre II. Toi qui te dis mon camarade, Devrais-je ici te rencontrer, Bonnet ridicule et maussade ? Le jour, peux-tu bien te montrer,
Fable VI, Livre V. Quelques brochets jetés dans nos é… N’y sont pas tout-à-fait nuisibles… Craints des poissons de tous les r… Mais au fretin lui seul terribles,
Fable I, Livre V. « On suivait Paul hier, on le fui… Me direz-vous, monsieur, à quelle… Il faut imputer l’inconstance Que le public montre envers lui ?…
Fable X, Livre V. —Lève une tête un peu moins haute, Toi qui n’es bon qu’à me chauffer. Tes fruits sont affreux.—C’est ta… Ne devais-tu pas me greffer ?
À ***. De même espèce que la nôtre, Le sage est sujet à l’erreur. Notre Anglais, si j’en crois mon… Se trompe ici tout comme un autre.
Fable V, Livre II. Plus galant que sensé, Colin voul… Réunir dans son champ l’agréable à… Et cultiver les fleurs au milieu d… Rien n’était, à son gré, plus sage…
Fable XI, Livre III. Le vent s’élève ; un gland tombe d… Un chêne en sort.—Un chêne ! Osez… Chêne cet avorton qu’un souffle fa… Ce fétu, près de qui la plus humbl…
Déjà j’ai vu le verger Se parer de fleurs nouvelles ; Le Zéphyr, toujours léger, Déjà folâtre autour d’elles. L’hiver fuit ; tout va changer,
Fable IV, Livre V. Mes bons amis, je dois en convenir… Je n’imaginais pas qu’un mort pût… Que bien empaqueté, soit dans cett… Des humains du commun la retraite…
Fable VII, Livre IV. —Tandis qu’en vain cet arbre utile Attend l’eau dont il a besoin, Pourquoi prenez-vous tant de soin De cet arbre ingrat et stérile ?
Tandis que sur l’herbe étendu, Au bord d’une onde enchanteresse, Fuyant et la molle paresse Et le travail trop assidu, Je ris de l’humaine faiblesse,