"Derniers vers (1872)"
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Qu’est-ce pour nous, mon coeur, qu… Et de braise, et mille meurtres, e… De rage, sanglots de tout enfer re… Tout ordre ; et l’Aquilon encor s… Et toute vengeance ? Rien !...– M…
Mon triste coeur bave à la poupe, Mon coeur couvert de caporal : Ils y lancent des jets de soupe, Mon triste coeur bave à la poupe : Sous les quolibets de la troupe
Loin des oiseaux, des troupeaux, d… Je buvais, accroupi dans quelque b… Entourée de tendres bois de noiset… Par un brouillard d’après-midi tiè… Que pouvais-je boire dans cette je…
Bien tard, quand il se sent l’esto… Le frère Milotus, un oeil à la lu… D’où le soleil, clair comme un cha… Lui darde une migraine et fait son… Déplace dans les draps son ventre…
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
Et la Mère, fermant le livre du d… S’en allait satisfaite et très fiè… Dans les yeux bleus et sous le fro… L’âme de son enfant livrée aux rép… Tout le jour il suait d’obéissance…
Ainsi, toujours, vers l’azur noir Où tremble la mer des topazes, Fonctionneront dans ton soir Les Lys, ces clystères d’extases… À notre époque de sagous,
Vraiment, c’est bête, ces églises… Où quinze laids marmots encrassant… Écoutent, grasseyant les divins ba… Un noir grotesque dont fermentent… Mais le soleil éveille, à travers…
Les chars d’argent et de cuivre - Les proues d’acier et d’argent - Battent l’écume, - Soulèvent les souches des ronces. Les courants de la lande,
Parqués entre des bancs de chêne,… Qu’attiédit puamment leur souffle,… Vers le choeur ruisselant d’orrie… Aux vingt gueules gueulant les can… Comme un parfum de pain humant l’o…
Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou Sous l’arbre tendronnier qui bave, Vos caoutchoucs Blancs de lunes particulières
Plates-bandes d’amarantes jusqu’à L’agréable palais de Jupiter. —Je sais que c’est Toi qui, dans… Mêles ton bleu presque de Sahara… Puis, comme rose et sapin du solei…
Sur la place taillée en mesquines… Square où tout est correct, les ar… Tous les bourgeois poussifs qu’étr… Portent, les jeudis soirs, leurs b… —L’orchestre militaire, au milieu…
La chambre est pleine d’ombre ; on… De deux enfants le triste et doux… Leur front se penche, encore alour… Sous le long rideau blanc qui trem… —Au dehors les oiseaux se rapproch…
Je vis assis, tel qu’un ange aux m… Empoignant une chope à fortes cann… L’hypogastre et le col cambrés, un… Aux dents, sous l’air gonflé d’imp… Tels que les excréments chauds d’u…