"Derniers vers (1872)"
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Je vis assis, tel qu’un ange aux m… Empoignant une chope à fortes cann… L’hypogastre et le col cambrés, un… Aux dents, sous l’air gonflé d’imp… Tels que les excréments chauds d’u…
Dans la feuillée, écrin vert taché… Dans la feuillée incertaine et fle… De fleurs splendides où le baiser… Vif et crevant l’exquise broderie, Un faune effaré montre ses deux ye…
Jeanne-Marie a des mains fortes, Mains sombres que l’été tanna, Mains pâles comme des mains mortes… —Sont—ce des mains de Juana ? Ont-elles pris les crèmes brunes
Zut alors, si le soleil quitte ces… Fuis, clair déluge ! Voici l’ombr… Dans les saules, dans la vieille c… L’orage d’abord jette ses larges g… Ô cent agneaux, de l’idylle soldat…
On n’est pas sérieux, quand on a d… —Un beau soir, foin des bocks et d… Des cafés tapageurs aux lustres éc… —On va sous les tilleuls verts de… Les tilleuls sentent bon dans les…
Au gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cra…
Sur la place taillée en mesquines… Square où tout est correct, les ar… Tous les bourgeois poussifs qu’étr… Portent, les jeudis soirs, leurs b… —L’orchestre militaire, au milieu…
La chambre est pleine d’ombre ; on… De deux enfants le triste et doux… Leur front se penche, encore alour… Sous le long rideau blanc qui trem… —Au dehors les oiseaux se rapproch…
Est-elle almée ?... aux premières… Se détruira-t-elle comme les fleur… Devant la splendide étendue où l’o… Souffler la ville énormément flori… C’est trop beau ! c’est trop beau…
Les chars d’argent et de cuivre - Les proues d’acier et d’argent - Battent l’écume, - Soulèvent les souches des ronces. Les courants de la lande,
Ma faim, Anne, Anne, Fuis sur ton âne. Si j’ai du goût, ce n’est guères Que pour la terre et les pierres. Dinn ! dinn ! dinn ! dinn ! Mange…
Le bras sur un marteau gigantesque… D’ivresse et de grandeur, le front… Comme un clairon d’airain, avec to… Et prenant ce gros-là dans son reg… Le Forgeron parlait à Louis Seiz…
Qu’est-ce pour nous, mon coeur, qu… Et de braise, et mille meurtres, e… De rage, sanglots de tout enfer re… Tout ordre ; et l’Aquilon encor s… Et toute vengeance ? Rien !...– M…
La Rivière de Cassis roule ignoré… En des vaux étranges : La voix de cent corbeaux l’accompa… Et bonne voix d’anges : Avec les grands mouvements des sap…
Seigneur, quand froide est la prai… Quand dans les hameaux abattus, Les longs angelus se sont tus... Sur la nature défleurie Faites s’abattre des grands cieux