Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
En voyage, on s’arrête, on descend… Puis entre deux maisons on passe à… Des chevaux, de la route et des fo… L’oeil fatigué de voir et le corps… Et voici tout à coup, silencieuse…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Ah ! sous une feinte allégresse Ne nous cache pas ta douleur ! Tu plais autant par ta tristesse Que par ton sourire enchanteur À travers la vapeur légère
En partant de Baden, j’avais d’ab… Que par monsieur Éloi, que par mon… Je pourrais, attendant des fortune… Aller prendre ma place au bateau d… Ce qui m’avait conduit, plein d’un…
Dieu est mort ! le ciel est vide..… Pleurez ! enfants, vous n’avez plu… Jean Paul . Quand le Seigneur, levant au ciel… Sous les arbres sacrés, comme font…
Petit piqueton de Mareuil, Plus clairet qu’un vin d’Argenteu… Que ta saveur est souveraine ! Les Romains ne t’ont pas compris Lorsqu’habitant l’ancien Paris
Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau. C’est peut-être la seule au monde
Une amoureuse flamme Consume mes beaux jours ; Ah ! la paix de mon âme A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence
Non loin des rivages de France, Il est une île au sein des mers : C’est là que veille l’espérance Et le fléau de l’univers ; Et c’est là, qu’abusant du droit d…
Pays enchanté, C’est la beauté Qui doit te soumettre à ses chaîne… Là-haut sur ces monts Nous triomphons :
Une femme est l’amour, la gloire e… Aux enfants qu’elle guide, à l’hom… Elle élève le cœur et calme la sou… Comme un esprit des cieux sur la t… Courbé par le travail ou par la de…
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
Belle épousée, J’aime tes pleurs ! C’est la rosée Qui sied aux fleurs. Les belles choses