Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Le temps, comme un torrent, roule… Rien n’échappe à l’effort de ses f… En vain quelques vieillards, sur l… Derniers et seuls débris qui reste… Roidissant contre lui leur effort…
Arrête, esprit sublime ! arrête ! Du sort crains de braver les lois… Dieu qui commande à la tempête L’agite sur le front des rois ; Son bras pourra réduire en poudre
Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau. C’est peut-être la seule au monde
Ces nobles d’autrefois dont parlen… Ces preux à fronts de bœuf, à figu… Dont les corps charpentés d’osseme… Semblaient avoir au sol racine et… S’ils revenaient au monde, et qu’i…
En voyage, on s’arrête, on descend… Puis entre deux maisons on passe à… Des chevaux, de la route et des fo… L’oeil fatigué de voir et le corps… Et voici tout à coup, silencieuse…
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
Ici l’on passe Des jours enchantés ! L’ennui s’efface Aux coeurs attristés Comme la trace
Ah ! sous une feinte allégresse Ne nous cache pas ta douleur ! Tu plais autant par ta tristesse Que par ton sourire enchanteur À travers la vapeur légère
On ne sait pas toujours où va port… Et bien des souverains, maladroits… En laissent retomber le coupant su… ... Que d’ennuis sur un front la main…
De toutes les belles choses Qui nous manquent en hiver, Qu’aimez-vous mieux ?—Moi, les ro… —Moi, l’aspect d’un beau pré vert… —Moi, la moisson blondissante,
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Il est un air pour qui je donnerai… Tout Rossini, tout Mozart et tout… Un air très-vieux, languissant et… Qui pour moi seul a des charmes se… Or, chaque fois que je viens à l’e…
Au printemps l’oiseau naît et chan… N’avez-vous pas ouï sa voix ?... Elle est pure, simple et touchante… La voix de l’oiseau—dans les bois… L’été, l’oiseau cherche l’oiselle…
À cette côte anglaise J’ai donc fait mes adieux, Et sa blanche falaise S’efface au bord des cieux ! Que la mer me sourie !
« Ce roc voûté par art, chef-d’œuv… Ce roc de Tarascon hébergeait aut… Les géants descendus des montagnes… Dont tant d’os excessifs rendent s… Ô seigneur Du Bartas, je suis de…