#ÉcrivainsFrançais
Place du Carrousel vers la fin d’un beau jour d’été le sang d’un cheval accidenté et dételé ruisselait
Dans ma maison vous viendrez D’ailleurs ce n’est pas ma maison Je ne sais pas à qui elle est Je suis entré comme ça un jour Il n’y avait personne
Enfant j’ai vécu drôlement le fou rire tous les jours le fou rire vraiment et puis une tristesse tellement tr…
Oiseau fou de terreur perdu dans l… chagrin multicolore cauchemar de la mariée clef de son troupeau de songes aux… alcôve du secret et caillou dans l…
A New York ou ailleurs, assis dans son fauteuil de gloire, Lindbergh, l’aviateur, peut voir—comme si c’était lui—l’acteur qui joue le rôle qu’il a lui-même joué dans l’histoire. Au ciné...
J’ai mis mon képi dans la cage et je suis sorti avec l’oiseau sur… Alors on ne salue plus a demandé le commandant
Tu sais que ma peinture ne veut rien de magistral ou d’important et que j’essaie de donner une vie plus réelle aux choses insignifiantes, pauvres, simples, oubliées et jetées-Plumes et ...
A cette époque c’était la paix c’est-à-dire la guerre ailleurs et la vie du plus pauvre avait de la valeur Le pain avait le goût du pain le vin avait le goût du vin et la tristesse parf...
L’enfance dans le lointain de la jeunesse l’adolescent la méprise et ne veut… ce n’est plus moi dit-il c’est un petit qui ne sait pas ce…
Entendez-vous Entendez-vous gens du Viet-Nam entendez-vous dans vos c… Oui nous les entendons Ces êtres inférieurs
Oubliettes des châteaux de sable Meurtrières fenêtres de l’oubli Tout est toujours pareil Et cependant tout a changé Tu étais nue dans le soleil
Un matin dans une cour de la rue de la Colombe ou de la rue des Ursins
Dressage, Dompteurs de cœurs et de cerveaux, pollueurs
La vie de Loris tient encore le b… En équilibre libre et sans cesse m… L’humour appartient à tout le mond… Celui de Loris n’appartient qu’à…
Où je vais, d’où je viens. Pourquoi je suis trempée. Voyons, ça se voit bien. Il pleut. La pluie, c’est de la pluie