Le Poème des beaux jours (1862)
#ÉcrivainsFrançais
Avant que mon adieu salue avec tri… Paris, ce beau Paris qui fut l’hu… Et que j’aille revoir les fortunés… Où Marseille au rivage aligne tan… Laisse-moi rafraîchir, ami, dans t…
Ils avaient tout un jour, assidus… Travaillé du marteau, du rabot, de… Charpentiers d’aventure, ils rajus… De leur chaloupe usée, au pont min… Qui hors du flot gisait.—Hélas !…
Soufflez et mugissez, tristes vent… Sombres flots, déchirez et jetez à… Votre folle écume au rivage ! Penché vers vous, du bord de ces r… J’aspire dans mon âme et je bois d…
Quoi ! Vous à pareille heure ici,… Étrangère, et pour moi cependant d… Vous, si jeune et si frêle, êtes a… Admirer l’ouragan dans toute sa no… Quoi ! Pour l’étudier, cette mer…
Les rivages à pic descendent à la… Leurs sommets, rafraîchis par un z… Portent tout un fouillis de grands… Lentisques, châtaigniers, pins ver… La nature a sculpté, le long du vi…
Entre les caps d’azur qui dentèlen… Il en est un, que l’onde incessamm… Et qu’en voguant vers lui tout pie… Salue avec amour à l’horizon serei… Sunium ! Sunium ! dit-il, radieux…
Poète errant au bord de cette mer… Suspens le pas et vois... vois ce… En fondant sur la grève elle y pre… Quelque caillou grossier qui gisai… De silex, de granit quelque rude p…
« Presque un siècle entier sans co… A passé sur moi, vrai lion marin. Il faudrait pourtant prendre sa re… Et chercher à terre un abri serein… Quand on a lassé, rude capitaine.
La maison du pêcheur, qui près du… Entre ses murs étroits nous avait… C’était l’heure du soir, l’heure p… La mer, sous une brise, arrivait à… En doux et larges plis.
Dans la rade où se joue une brise… Aujourd’hui je voguais, au retour… Je rapportais à Naples un radieux… Un beau thyrse de fleurs écloses d… Merveilles de ces bords, telles qu…
« Voulez-vous de la mer connaître… Disait-il ; voulez-vous contempler… Que le poète ému cherche d’un pas… Partez un jour, gagnez les côtes d… Sur la grève en talus que le flot…
Depuis de longs jours, l’ouragan q… Va nous emportant sur l’Océan noi… Bien loin de la rive où je vins au… Pour des maux que nul n’eût osé pr… Le mât du vaisseau, que bat la tou…
Vierge au front étoilé ! Reine sa… Douce à tout affligé dans ce vallo… Que partout, qu’à jamais le cantiq… Qui te nomme, ici-bas, Mère des S… Dans l’alcôve où s’éteint la lampe…
Renais, renais ; ouvre et déploie Ta robe de fleurs et d’air pur ; Tressaille d’amour et de joie, Ô terre antique où me renvoie Le Dieu qui règne dans l’azur !
Humbles toits, rassemblés au flanc… Que ceignent les palmiers ; Tuiles au rouge émail qu’un vieux… Hanté par les ramiers ; Des portes où la vigne arrondit so…