Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Parfois je sens, mourant des temps… Mon immense douleur s’enivrer d’es… En vain l’heure honteuse ouvre des… En vain bâillent sous nous les dés… Pour engloutir l’abus de notre âpr…
La Vie est triomphante et l’Idéal… Et voilà que, criant sa joie au ve… Le cheval enivré du vainqueur broi… Nos frères, qui du moins tombèrent… Et nous que la déroute a fait surv…
Or, vous voici promus, petits amis… Depuis les temps de ma lettre prem… Promus, disais-je, aux fiers emplo… À votre thèse, en ces jours de lum… Vous voici rois de France ! À vot…
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
Désormais le Sage, puni Pour avoir trop aimé les choses, Rendu prudent à l’infini, Mais franc de scrupules moroses, Et d’ailleurs retournant au Dieu
Furieuse, les yeux caves et les se… Sappho, que la langueur de son dés… Comme une louve court le long des… Elle songe à Phaon, oublieuse du… Et, voyant à ce point ses larmes d…
A José Maria de Heredia Ce poète terrible et divinement do… Plus large que Corneille et plus… Grand comme Eschyle avec ce souff… Ce Calderon mystique et mythique…
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Ah ! soyez ce que pense une foule… Ou ce que le penseur lui-même dit… Bassement orgueilleux, haineusemen… Avares, impurs, durs, la vérité vo… Et, de fait, nul de vous ne risque…
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Courtisane au sein dur, à l’oeil o… S’ouvrant avec lenteur comme celui… Ton grand torse reluit ainsi qu’un… Fleur grasse et riche, autour de t… Arôme, et la beauté sereine de ton…
C’est le chien de Jean de Nivelle Qui mord sous l’œil même du guet Le chat de la mère Michel ; François-les-bas-bleus s’en égaie. La Lune à l’écrivain public
À grands plis sombres une ample ta… De haute lice, avec emphase descen… Le long des quatre murs immenses d… Mystérieux où l’ombre au luxe se m… Les meubles vieux, d’étoffe éclata…
Tes cheveux bleus aux dessous roux… Tes yeux très durs qui sont trop d… Ta beauté qui n’en est pas une, Tes seins que busqua, que musqua Un diable cruel et jusqu’à