Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Je suis dur comme un juif et têtu… Littéral, ne faisant le bien qu’av… Quand je le fais, et prêt à tout l… Mon esprit s’ouvre et s’offre, on… Je ne puis plus compter les chutes…
Ah ! soyez ce que pense une foule… Ou ce que le penseur lui-même dit… Bassement orgueilleux, haineusemen… Avares, impurs, durs, la vérité vo… Et, de fait, nul de vous ne risque…
De toutes les douleurs douces Je compose mes magies ! Paul, les paupières rougies, Erre seul aux Pamplemousses. La Folle-par-amour chante
Je voudrais, si ma vie était encor… Qu’une femme très calme habitât av… Plus jeune de DIX ans, qui portâ… La moitié d’une vie au fond plutôt… Notre cœur à tous deux dans ce châ…
(En lui envoyant une pensée.) Au temps où vous m’aimiez (bien sû… Vous m’envoyâtes, fraîche éclose, Une chère petite rose, Frais emblème, message pur.
Sagesse d’un Louis Racine, je t’e… Ô n’avoir pas suivi les leçons de… N’être pas né dans le grand siècle… Quand le soleil couchant, si beau,… Quand Maintenon jetait sur la Fra…
Hélas ! je n’étais pas fait pour c… Et pour ce mépris plus forts que m… Mais pourquoi m’avoir fait cet agn… Et pourquoi m’avoir fait ce coeur… J’étais né pour plaire à toute âme…
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
Maintenant, au gouffre du Bonheur… Mais avant le glorieux naufrage Il faut faire à cette mer en rage Quelque sacrifice et quelque honne… Jettes-y, dans cette mer terrible,
Bon pauvre, ton vêtement est léger Comme une brume, Oui, mais aussi ton cœur, il est l… Comme une plume, Ton libre cœur qui n’a qu’à plaire…
Souvenir, souvenir, que me veux-tu… Faisait voler la grive à travers l… Et le soleil dardait un rayon mono… Sur le bois jaunissant où la bise… Nous étions seul à seule et marchi…
Ami, le temps n’est plus des guita… Des créanciers, des duels hilares… De rien, des cabarets, des pipes a… Et de cette gaîté banale où nous n… Voici venir, ami très tendre qui t…
Or ce vieillard était horrible : u… Crevé, saignait, tandis que l’autr… Brutalement luisait sous son sourc… Les cheveux se dressaient d’une fa… Blancs, et paraissaient moins des…
La fuite est verdâtre et rose Des collines et des rampes, Dans un demi-jour de lampes Qui vient brouiller toute chose. L’or sur les humbles abîmes,
Las ! je suis à l’Index et dans l… Me voici Paul V... pur et simple.… De mes amis, tant les éditeurs son… Doivent éliminer mon nom de leurs… Extraordinaire et saponaire tonner…